"Vente par Jean Raon, et par ses enfants, Jean-Melchior Raon, bourgeois de Paris [sculpteur], et Catherine Raon, à Toussaint Rohais, du quart au total et par indivis, de la maison, sise rue Saint-Étienne-des-Grès, à l'image de Saint Christophe, provenant de la succession de défunte Geneviève Lecoeur, femme dudit Jean Raon; les vendeurs cèdent encore à l'acquéreur 100 livres de rente au principal et 2.000 livres provenant de la succession de Jean Lecoeur, lequel avait constitué cette rente au profit desdits Jean Raon et Geneviève Lecoeur, pour s'acquitter de la moitié de la somme de 4.000 livres, moyennant laquelle ceux-ci lui avaient vendu un autre quart de propriété de ladite maison; de plus, les vendeurs transportent audit Rohais leur part des loyers échus ainsi que les arrérages de la rente. Le tout est cédé moyennant 1.400 livres (compte tenu de la créance de Rohais sur la succession Lecoeur), dont 200 livres sont payées comptant par ledit Rohais, le restant constituant le principal d'une rente de 65 livres qu'il s'oblige à payer aux vendeurs."@fr . "MC/ET/I/224" . "10 mars 1704"@fr . "1704-03-10"^^ . . . "Vente par Jean Raon, et par ses enfants, Jean-Melchior Raon, bourgeois de Paris [sculpteur], et Catherine Raon, à Toussaint Rohais, du quart au total et par indivis, de la maison, sise rue Saint-Étienne-des-Grès, à l'image de Saint Christophe, provenant de la succession de défunte Geneviève Lecoeur, femme dudit Jean Raon; les vendeurs cèdent encore à l'acquéreur 100 livres de rente au principal et 2.000 livres provenant de la succession de Jean Lecoeur, lequel avait constitué cette rente au profit desdits Jean Raon et Geneviève Lecoeur, pour s'acquitter de la moitié de la somme de 4.000 livres, moyennant laquelle ceux-ci lui avaient vendu un autre quart de propriété de ladite maison; de plus, les vendeurs transportent audit Rohais leur part des loyers échus ainsi que les arrérages de la rente. Le tout est cédé moyennant 1.400 livres (compte tenu de la créance de Rohais sur la succession Lecoeur), dont 200 livres sont payées comptant par ledit Rohais, le restant constituant le principal d'une rente de 65 livres qu'il s'oblige à payer aux vendeurs."@fr . .