Vente par Cécile Noblin, fille majeure, marchande lingère, Pierre Destabeau, bourgeois de Paris et Madeleine Noblin, sa femme, demeurant ensemble rue de la Lingerie, à Antoine Valentin, maître rôtisseur et sergent des gardes de la ville, demeurant place du Petit-Marché, d'une maison, sise rue du Coeur-Volant, anciennement dite des Marguilliers de Saint-Sulpice, provenant de la succession de Marguerite Noblin, fille majeure, marchande lingère, tante desdites Cécile et Madeleine Noblin, ses légataires universelles; lesdites dames étant aux droits d'Henri Noblin, graveur du roi, leur père, seul héritier de la défunte, sa soeur, suivant l'acte passé entre elles et leur père, le 12 février 1712, devant Bailly, portant délivrance par ledit Noblin du legs universel fait en faveur de ses nièces par ladite Marguerite Noblin. La vente est faite moyennant 2.350 livres.

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Vente par Cécile Noblin, fille majeure, marchande lingère, Pierre Destabeau, bourgeois de Paris et Madeleine Noblin, sa femme, demeurant ensemble rue de la Lingerie, à Antoine Valentin, maître rôtisseur et sergent des gardes de la ville, demeurant place du Petit-Marché, d'une maison, sise rue du Coeur-Volant, anciennement dite des Marguilliers de Saint-Sulpice, provenant de la succession de Marguerite Noblin, fille majeure, marchande lingère, tante desdites Cécile et Madeleine Noblin, ses légataires universelles; lesdites dames étant aux droits d'Henri Noblin, graveur du roi, leur père, seul héritier de la défunte, sa soeur, suivant l'acte passé entre elles et leur père, le 12 février 1712, devant Bailly, portant délivrance par ledit Noblin du legs universel fait en faveur de ses nièces par ladite Marguerite Noblin. La vente est faite moyennant 2.350 livres. 
xsd:date 1716-09-30 
30 septembre 1716 
MC/ET/I/268 
Vente par Cécile Noblin, fille majeure, marchande lingère, Pierre Destabeau, bourgeois de Paris et Madeleine Noblin, sa femme, demeurant ensemble rue de la Lingerie, à Antoine Valentin, maître rôtisseur et sergent des gardes de la ville, demeurant place du Petit-Marché, d'une maison, sise rue du Coeur-Volant, anciennement dite des Marguilliers de Saint-Sulpice, provenant de la succession de Marguerite Noblin, fille majeure, marchande lingère, tante desdites Cécile et Madeleine Noblin, ses légataires universelles; lesdites dames étant aux droits d'Henri Noblin, graveur du roi, leur père, seul héritier de la défunte, sa soeur, suivant l'acte passé entre elles et leur père, le 12 février 1712, devant Bailly, portant délivrance par ledit Noblin du legs universel fait en faveur de ses nièces par ladite Marguerite Noblin. La vente est faite moyennant 2.350 livres. 

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