Transport par Noëlle Mauberger, veuve de Jean Mourette, jardinier, demeurant à Sceaux, et ses enfants : Pierre-Michel Mourette, architecte, demeurant rue du Four, quartier Saint-Germain-des-Prés, Jean-Baptiste Mourette, maître rôtisseur, demeurant rue des Lombards, Nicolas Mourette, jardinier, demeurant à Sceaux, à Jean-Pierre Duchosal, bourgeois de Paris, demeurant rue du Cherche-Midi, de 4 livres 7 sols 6 deniers de rente foncière dues par les enfants et héritiers de défunt Philippe Mourette, charron; ladite rente est à prendre sur 7 livres 10 sols, faisant partie de 15 livres de pareille rente, que ledit défunt Jean Mourette et son frère, Pierre Mourette, avaient acquises de Jean Boulenger et Edme Hudde, par deux actes passés devant Nicolas Rougemont, tabellion au bailliage de Moussy-le-Neuf, les 23 et 24 octobre 1718; à l'origine, cette rente foncière était due par Marguerite Decaen, veuve de Denis Débonnaire, aïeule des Mourette, à Jean Des Rues qui lui avait cédé en échange une maison, cour, jardin et dépendances situés à Villeneuve-sous-Dammartin, devant Julien, tabellion à Mauregard, le 11 décembre 1629; de cette maison et dépendances les héritiers dudit Philippe Mourette, sont propriétaires en partie. Le présent transport est fait moyennant 87 livres 10 sols.
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Transport par Noëlle Mauberger, veuve de Jean Mourette, jardinier, demeurant à Sceaux, et ses enfants : Pierre-Michel Mourette, architecte, demeurant rue du Four, quartier Saint-Germain-des-Prés, Jean-Baptiste Mourette, maître rôtisseur, demeurant rue des Lombards, Nicolas Mourette, jardinier, demeurant à Sceaux, à Jean-Pierre Duchosal, bourgeois de Paris, demeurant rue du Cherche-Midi, de 4 livres 7 sols 6 deniers de rente foncière dues par les enfants et héritiers de défunt Philippe Mourette, charron; ladite rente est à prendre sur 7 livres 10 sols, faisant partie de 15 livres de pareille rente, que ledit défunt Jean Mourette et son frère, Pierre Mourette, avaient acquises de Jean Boulenger et Edme Hudde, par deux actes passés devant Nicolas Rougemont, tabellion au bailliage de Moussy-le-Neuf, les 23 et 24 octobre 1718; à l'origine, cette rente foncière était due par Marguerite Decaen, veuve de Denis Débonnaire, aïeule des Mourette, à Jean Des Rues qui lui avait cédé en échange une maison, cour, jardin et dépendances situés à Villeneuve-sous-Dammartin, devant Julien, tabellion à Mauregard, le 11 décembre 1629; de cette maison et dépendances les héritiers dudit Philippe Mourette, sont propriétaires en partie. Le présent transport est fait moyennant 87 livres 10 sols.
xsd:date
1733-12-18
18 décembre 1733
MC/ET/I/366
Transport par Noëlle Mauberger, veuve de Jean Mourette, jardinier, demeurant à Sceaux, et ses enfants : Pierre-Michel Mourette, architecte, demeurant rue du Four, quartier Saint-Germain-des-Prés, Jean-Baptiste Mourette, maître rôtisseur, demeurant rue des Lombards, Nicolas Mourette, jardinier, demeurant à Sceaux, à Jean-Pierre Duchosal, bourgeois de Paris, demeurant rue du Cherche-Midi, de 4 livres 7 sols 6 deniers de rente foncière dues par les enfants et héritiers de défunt Philippe Mourette, charron; ladite rente est à prendre sur 7 livres 10 sols, faisant partie de 15 livres de pareille rente, que ledit défunt Jean Mourette et son frère, Pierre Mourette, avaient acquises de Jean Boulenger et Edme Hudde, par deux actes passés devant Nicolas Rougemont, tabellion au bailliage de Moussy-le-Neuf, les 23 et 24 octobre 1718; à l'origine, cette rente foncière était due par Marguerite Decaen, veuve de Denis Débonnaire, aïeule des Mourette, à Jean Des Rues qui lui avait cédé en échange une maison, cour, jardin et dépendances situés à Villeneuve-sous-Dammartin, devant Julien, tabellion à Mauregard, le 11 décembre 1629; de cette maison et dépendances les héritiers dudit Philippe Mourette, sont propriétaires en partie. Le présent transport est fait moyennant 87 livres 10 sols.