Transaction entre Jacqueline Bonneau, fille majeure, demeurant rue de la Jussienne, et Aimée Bonneau, veuve de Nicolas Mallet, peintre, demeurant au faubourg Saint-Germain, (1) près le noviciat des Jacobins réformés, héritières en partie de Samson Bonneau, maître apothicaire, et de Jacqueline Bordier, leurs père et mère, d'une part, et Jean Bordier, receveur du revenu temporel de l'abbaye de Barbeau et Aymans, demeurant à Barbeau, logé à Paris rue Saint-Denis, à l'enseigne de la 'Sereine', par laquelle lesdites Bonneau cèdent à Jean Bordier tous leurs droits dans les successions de Jacqueline Bordier, leur mère, et de Jacqueline Lejuge, leur aïeule, pour s'acquitter envers lui de tous les dépens des actions intentées contre lui et de ce qu'elles peuvent lui devoir.
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Transaction entre Jacqueline Bonneau, fille majeure, demeurant rue de la Jussienne, et Aimée Bonneau, veuve de Nicolas Mallet, peintre, demeurant au faubourg Saint-Germain, (1) près le noviciat des Jacobins réformés, héritières en partie de Samson Bonneau, maître apothicaire, et de Jacqueline Bordier, leurs père et mère, d'une part, et Jean Bordier, receveur du revenu temporel de l'abbaye de Barbeau et Aymans, demeurant à Barbeau, logé à Paris rue Saint-Denis, à l'enseigne de la 'Sereine', par laquelle lesdites Bonneau cèdent à Jean Bordier tous leurs droits dans les successions de Jacqueline Bordier, leur mère, et de Jacqueline Lejuge, leur aïeule, pour s'acquitter envers lui de tous les dépens des actions intentées contre lui et de ce qu'elles peuvent lui devoir.
xsd:date
1637-02-09
9 février 1637
MC/ET/II/154
Transaction entre Jacqueline Bonneau, fille majeure, demeurant rue de la Jussienne, et Aimée Bonneau, veuve de Nicolas Mallet, peintre, demeurant au faubourg Saint-Germain, (1) près le noviciat des Jacobins réformés, héritières en partie de Samson Bonneau, maître apothicaire, et de Jacqueline Bordier, leurs père et mère, d'une part, et Jean Bordier, receveur du revenu temporel de l'abbaye de Barbeau et Aymans, demeurant à Barbeau, logé à Paris rue Saint-Denis, à l'enseigne de la 'Sereine', par laquelle lesdites Bonneau cèdent à Jean Bordier tous leurs droits dans les successions de Jacqueline Bordier, leur mère, et de Jacqueline Lejuge, leur aïeule, pour s'acquitter envers lui de tous les dépens des actions intentées contre lui et de ce qu'elles peuvent lui devoir.