Transport par Claude Brilliard, peintre, demeurant rue Aubry-le-Boucher, par François Le Devin, marchand tapissier, demeurant sous les piliers de la Tonnellerie, à l'enseigne du Petit Paon, en son nom et comme tuteur des enfants mineurs de Nicolas Lesueur, marchand papetier et de Claude Brilliard, sa femme, et par Denise Brilliard, veuve de Jean Malivet, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Aubry-le-Boucher, à Charles Thomas, procureur au Châtelet, demeurant rue Geoffroy-Langevin, d'une rente de 50 livres, constituée à feu Claude Brilliard, marchand tapissier, bourgeois de Paris, leur père et aïeul, et par Jacques Bailly, procureur en la chambre des comptes, le 10 mai 1608, (1) moyennant 1.050 livres tournois dont 800 livres pour le principal et 250 livres pour cinq années d'arrérages.
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Transport par Claude Brilliard, peintre, demeurant rue Aubry-le-Boucher, par François Le Devin, marchand tapissier, demeurant sous les piliers de la Tonnellerie, à l'enseigne du Petit Paon, en son nom et comme tuteur des enfants mineurs de Nicolas Lesueur, marchand papetier et de Claude Brilliard, sa femme, et par Denise Brilliard, veuve de Jean Malivet, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Aubry-le-Boucher, à Charles Thomas, procureur au Châtelet, demeurant rue Geoffroy-Langevin, d'une rente de 50 livres, constituée à feu Claude Brilliard, marchand tapissier, bourgeois de Paris, leur père et aïeul, et par Jacques Bailly, procureur en la chambre des comptes, le 10 mai 1608, (1) moyennant 1.050 livres tournois dont 800 livres pour le principal et 250 livres pour cinq années d'arrérages.
xsd:date
1645-03-16
16 mars 1645
MC/ET/II/176
Transport par Claude Brilliard, peintre, demeurant rue Aubry-le-Boucher, par François Le Devin, marchand tapissier, demeurant sous les piliers de la Tonnellerie, à l'enseigne du Petit Paon, en son nom et comme tuteur des enfants mineurs de Nicolas Lesueur, marchand papetier et de Claude Brilliard, sa femme, et par Denise Brilliard, veuve de Jean Malivet, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Aubry-le-Boucher, à Charles Thomas, procureur au Châtelet, demeurant rue Geoffroy-Langevin, d'une rente de 50 livres, constituée à feu Claude Brilliard, marchand tapissier, bourgeois de Paris, leur père et aïeul, et par Jacques Bailly, procureur en la chambre des comptes, le 10 mai 1608, (1) moyennant 1.050 livres tournois dont 800 livres pour le principal et 250 livres pour cinq années d'arrérages.