Délaissement au terme d'une transaction, par Emmanuel Langlois, marchand libraire, demeurant rue Saint-Jacques, et ses frères et soeurs, héritiers de Jacques Langlois, imprimeur du roi, et Anne Guéreau, leurs père et mère, à Jean Gondet, maître peintre et sculpteur, et Marie Langlois, sa femme, aussi fille des défunts, de leurs parts de propriété d'une maison avec jardin et dépendances, sise à Arcueil, provenant de ladite succession, à la condition que les époux Gondet déchargeront la succession de la dette qui lui incombe envers le sieur Gaillard, à présent décédé, qui avait fait saisir ladite maison, et à charge par eux de payer les 300 livres du douaire de Charlotte Poirion, veuve dudit Gaillard, augmenté des intérêts qui courent à dater du présent acte.
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Délaissement au terme d'une transaction, par Emmanuel Langlois, marchand libraire, demeurant rue Saint-Jacques, et ses frères et soeurs, héritiers de Jacques Langlois, imprimeur du roi, et Anne Guéreau, leurs père et mère, à Jean Gondet, maître peintre et sculpteur, et Marie Langlois, sa femme, aussi fille des défunts, de leurs parts de propriété d'une maison avec jardin et dépendances, sise à Arcueil, provenant de ladite succession, à la condition que les époux Gondet déchargeront la succession de la dette qui lui incombe envers le sieur Gaillard, à présent décédé, qui avait fait saisir ladite maison, et à charge par eux de payer les 300 livres du douaire de Charlotte Poirion, veuve dudit Gaillard, augmenté des intérêts qui courent à dater du présent acte.
xsd:date
1700-12-15
15 décembre 1700
MC/ET/II/13
Délaissement au terme d'une transaction, par Emmanuel Langlois, marchand libraire, demeurant rue Saint-Jacques, et ses frères et soeurs, héritiers de Jacques Langlois, imprimeur du roi, et Anne Guéreau, leurs père et mère, à Jean Gondet, maître peintre et sculpteur, et Marie Langlois, sa femme, aussi fille des défunts, de leurs parts de propriété d'une maison avec jardin et dépendances, sise à Arcueil, provenant de ladite succession, à la condition que les époux Gondet déchargeront la succession de la dette qui lui incombe envers le sieur Gaillard, à présent décédé, qui avait fait saisir ladite maison, et à charge par eux de payer les 300 livres du douaire de Charlotte Poirion, veuve dudit Gaillard, augmenté des intérêts qui courent à dater du présent acte.