Dépôt par Paul-Louis de Bonot, demeurant ordinairement à Bourg-Saint-Andéol, en Vivarais, d'une déclaration en date du 29 octobre 1718, aux termes de laquelle Jean d'Echeverry, bourgeois de Paris, demeurant rue du Four, reconnaît n'avoir rien à prétendre sur les 2.500 livres de rente, au principal de 50.000 livres, constituées à son profit le même jour, 29 octobre 1718, par Pierre Nativelle, architecte des bâtiments du roi, sous le cautionnement d'Antoine Levé, aussi architecte des bâtiments du roi, et portant engagement, par ledit Nativelle, d'employer les 50.000 livres au payement des travaux de maçonnerie et autres à faire dans une maison qu'il projette de faire construire grande rue et faubourg de Richelieu; ledit d'Echeverry reconnaît que les 2.500 livres de rente appartiennent à Vincent Duflos, écuyer, sieur de Villaurain, demeurant rue du Coq-Héron, qui a fourni les 50.000 livres et qu'il n'a fait que lui prêter son nom.
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Dépôt par Paul-Louis de Bonot, demeurant ordinairement à Bourg-Saint-Andéol, en Vivarais, d'une déclaration en date du 29 octobre 1718, aux termes de laquelle Jean d'Echeverry, bourgeois de Paris, demeurant rue du Four, reconnaît n'avoir rien à prétendre sur les 2.500 livres de rente, au principal de 50.000 livres, constituées à son profit le même jour, 29 octobre 1718, par Pierre Nativelle, architecte des bâtiments du roi, sous le cautionnement d'Antoine Levé, aussi architecte des bâtiments du roi, et portant engagement, par ledit Nativelle, d'employer les 50.000 livres au payement des travaux de maçonnerie et autres à faire dans une maison qu'il projette de faire construire grande rue et faubourg de Richelieu; ledit d'Echeverry reconnaît que les 2.500 livres de rente appartiennent à Vincent Duflos, écuyer, sieur de Villaurain, demeurant rue du Coq-Héron, qui a fourni les 50.000 livres et qu'il n'a fait que lui prêter son nom.
xsd:date
1738-12-06
6 décembre 1738
MC/ET/II/471
Dépôt par Paul-Louis de Bonot, demeurant ordinairement à Bourg-Saint-Andéol, en Vivarais, d'une déclaration en date du 29 octobre 1718, aux termes de laquelle Jean d'Echeverry, bourgeois de Paris, demeurant rue du Four, reconnaît n'avoir rien à prétendre sur les 2.500 livres de rente, au principal de 50.000 livres, constituées à son profit le même jour, 29 octobre 1718, par Pierre Nativelle, architecte des bâtiments du roi, sous le cautionnement d'Antoine Levé, aussi architecte des bâtiments du roi, et portant engagement, par ledit Nativelle, d'employer les 50.000 livres au payement des travaux de maçonnerie et autres à faire dans une maison qu'il projette de faire construire grande rue et faubourg de Richelieu; ledit d'Echeverry reconnaît que les 2.500 livres de rente appartiennent à Vincent Duflos, écuyer, sieur de Villaurain, demeurant rue du Coq-Héron, qui a fourni les 50.000 livres et qu'il n'a fait que lui prêter son nom.