Titre nouvel par Pierre Bonnier, peintre ordinaire du roi et contrôleur des bois à Paris, demeurant rue de la Verrerie, héritier pour un quart de Jeanne Pontheron, sa mère, veuve de François Bonnier, peintre ordinaire du roi, en son nom et au nom de Nicolas Bonnier, prêtre supérieur de l'Oratoire de Riom en Auvergne, et de Michel Bonnier, peintre en séjour à Rome, pour la moitié au total d'une maison sise rue de la Verrerie, à l'enseigne de la Rose blanche, entre la fabrique Saint-Jean-en-Grève et la maison de Roland Milot, maître peintre, envers Pierre Framery, mouleur de bois, bourgeois de Paris, demeurant sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, pour 100 livres de rente annuelle dont la maison est chargée envers lui.

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Titre nouvel par Pierre Bonnier, peintre ordinaire du roi et contrôleur des bois à Paris, demeurant rue de la Verrerie, héritier pour un quart de Jeanne Pontheron, sa mère, veuve de François Bonnier, peintre ordinaire du roi, en son nom et au nom de Nicolas Bonnier, prêtre supérieur de l'Oratoire de Riom en Auvergne, et de Michel Bonnier, peintre en séjour à Rome, pour la moitié au total d'une maison sise rue de la Verrerie, à l'enseigne de la Rose blanche, entre la fabrique Saint-Jean-en-Grève et la maison de Roland Milot, maître peintre, envers Pierre Framery, mouleur de bois, bourgeois de Paris, demeurant sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, pour 100 livres de rente annuelle dont la maison est chargée envers lui. 
xsd:date 1647-03-11 
11 mars 1647 
MC/ET/III/581 
Titre nouvel par Pierre Bonnier, peintre ordinaire du roi et contrôleur des bois à Paris, demeurant rue de la Verrerie, héritier pour un quart de Jeanne Pontheron, sa mère, veuve de François Bonnier, peintre ordinaire du roi, en son nom et au nom de Nicolas Bonnier, prêtre supérieur de l'Oratoire de Riom en Auvergne, et de Michel Bonnier, peintre en séjour à Rome, pour la moitié au total d'une maison sise rue de la Verrerie, à l'enseigne de la Rose blanche, entre la fabrique Saint-Jean-en-Grève et la maison de Roland Milot, maître peintre, envers Pierre Framery, mouleur de bois, bourgeois de Paris, demeurant sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, pour 100 livres de rente annuelle dont la maison est chargée envers lui. 

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