Inventaire après décès de Jean Trochu, compagnon tailleur, demeurant, rue Jean de l’Epine, paroisse Saint-Jean-en-Grève, à la requête de Marie Very, sa veuve, tant en son nom que comme mère et tutrice naturelle de Catherine Trochu, leur fille mineure, héritière du défunt son père. Et attendu que le défunt était de Bretagne et n’avait aucun parent en cette ville et le peu de valeur qu’elle a et pour éviter les frais elle n’a fait aucune élection de tuteur en justice de ladite mineure. Les biens étant en la chambre qu’elle occupe, dépendant d’une maison sise à Paris, en ladite rue Jean de l’Epine. Dans les papiers : le 9 septembre 1636 - Nicolas Lefebvre, savetier, demeurant rue Jean de l’Epine, paroisse Saint-Jean-en-Grève, confesse que ladite Marie Very, à présent sa femme, lui a apporté tout et chacun des biens inventoriés.
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Inventaire après décès de Jean Trochu, compagnon tailleur, demeurant, rue Jean de l’Epine, paroisse Saint-Jean-en-Grève, à la requête de Marie Very, sa veuve, tant en son nom que comme mère et tutrice naturelle de Catherine Trochu, leur fille mineure, héritière du défunt son père. Et attendu que le défunt était de Bretagne et n’avait aucun parent en cette ville et le peu de valeur qu’elle a et pour éviter les frais elle n’a fait aucune élection de tuteur en justice de ladite mineure. Les biens étant en la chambre qu’elle occupe, dépendant d’une maison sise à Paris, en ladite rue Jean de l’Epine. Dans les papiers : le 9 septembre 1636 - Nicolas Lefebvre, savetier, demeurant rue Jean de l’Epine, paroisse Saint-Jean-en-Grève, confesse que ladite Marie Very, à présent sa femme, lui a apporté tout et chacun des biens inventoriés.
xsd:date
1636-08-30
30 août 1636
MC/ET/IV/115
Inventaire après décès de Jean Trochu, compagnon tailleur, demeurant, rue Jean de l’Epine, paroisse Saint-Jean-en-Grève, à la requête de Marie Very, sa veuve, tant en son nom que comme mère et tutrice naturelle de Catherine Trochu, leur fille mineure, héritière du défunt son père. Et attendu que le défunt était de Bretagne et n’avait aucun parent en cette ville et le peu de valeur qu’elle a et pour éviter les frais elle n’a fait aucune élection de tuteur en justice de ladite mineure. Les biens étant en la chambre qu’elle occupe, dépendant d’une maison sise à Paris, en ladite rue Jean de l’Epine. Dans les papiers : le 9 septembre 1636 - Nicolas Lefebvre, savetier, demeurant rue Jean de l’Epine, paroisse Saint-Jean-en-Grève, confesse que ladite Marie Very, à présent sa femme, lui a apporté tout et chacun des biens inventoriés.