Convention entre Madeleine Corroyer de Sainte-Thérèse, prieure du couvent et hôpital de La Roquette, et les religieuses, d'une part, Anne Louvet, fille majeure, demeurant dans ledit couvent, Élisabeth de Montholon, veuve de Pierre de Falconis, demeurant rue des Barres, d'autre part, et Jean-Pierre Constantin, maître menuisier, demeurant rue de Jouy, encore d'autre part, aux termes de laquelle les parties arrêtent les travaux qu'il convient de faire pour achever la construction du corps de logis commencé en exécution de la convention du 18 mars 1720.- Ledit Constantin s'engage à exécuter les travaux de menuiserie et à faire faire les autres, le tout devant être achevé dans deux mois, moyennant 2.500 livres, sur laquelle il reconnaît avoir reçu 1.000 livres de ladite dame de Falconis; celle-ci a versé les 1.500 livres restant entre les mains de la prieure, moyennant quoi elle sera logée sa vie durant dans le second appartement dudit corps de logis.

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Convention entre Madeleine Corroyer de Sainte-Thérèse, prieure du couvent et hôpital de La Roquette, et les religieuses, d'une part, Anne Louvet, fille majeure, demeurant dans ledit couvent, Élisabeth de Montholon, veuve de Pierre de Falconis, demeurant rue des Barres, d'autre part, et Jean-Pierre Constantin, maître menuisier, demeurant rue de Jouy, encore d'autre part, aux termes de laquelle les parties arrêtent les travaux qu'il convient de faire pour achever la construction du corps de logis commencé en exécution de la convention du 18 mars 1720.- Ledit Constantin s'engage à exécuter les travaux de menuiserie et à faire faire les autres, le tout devant être achevé dans deux mois, moyennant 2.500 livres, sur laquelle il reconnaît avoir reçu 1.000 livres de ladite dame de Falconis; celle-ci a versé les 1.500 livres restant entre les mains de la prieure, moyennant quoi elle sera logée sa vie durant dans le second appartement dudit corps de logis. 
xsd:date 1721-10-29 
29 octobre 1721 
MC/ET/IV/426 
Convention entre Madeleine Corroyer de Sainte-Thérèse, prieure du couvent et hôpital de La Roquette, et les religieuses, d'une part, Anne Louvet, fille majeure, demeurant dans ledit couvent, Élisabeth de Montholon, veuve de Pierre de Falconis, demeurant rue des Barres, d'autre part, et Jean-Pierre Constantin, maître menuisier, demeurant rue de Jouy, encore d'autre part, aux termes de laquelle les parties arrêtent les travaux qu'il convient de faire pour achever la construction du corps de logis commencé en exécution de la convention du 18 mars 1720.- Ledit Constantin s'engage à exécuter les travaux de menuiserie et à faire faire les autres, le tout devant être achevé dans deux mois, moyennant 2.500 livres, sur laquelle il reconnaît avoir reçu 1.000 livres de ladite dame de Falconis; celle-ci a versé les 1.500 livres restant entre les mains de la prieure, moyennant quoi elle sera logée sa vie durant dans le second appartement dudit corps de logis. 

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