Transport par François Pourbus, peintre et valet de chambre ordinaire du roi, demeurant à Saint-Germain-des-Prés, rue sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, à Henry Keynen, messager ordinaire de la ville d'Anvers à Paris, logé rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merri, à l'enseigne de l''Écrevisse', de 111 sols tournois de rente annuelle à lui due par Corneille Floris, peintre et sculpteur, demeurant à Anvers, du fait de François Pourbus, son père, dont il est le seul héritier, par constitution du 30 avril 1580, et garantie par une maison sise rue des Eneriquestrate appelée la maison de 'Saint-Gerigny', moyennant la somme de 88 livres 16 sols tournois pour le principal et bon payement des arrérages échus qui n'ont pas encore été touchés. (1)
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Transport par François Pourbus, peintre et valet de chambre ordinaire du roi, demeurant à Saint-Germain-des-Prés, rue sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, à Henry Keynen, messager ordinaire de la ville d'Anvers à Paris, logé rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merri, à l'enseigne de l''Écrevisse', de 111 sols tournois de rente annuelle à lui due par Corneille Floris, peintre et sculpteur, demeurant à Anvers, du fait de François Pourbus, son père, dont il est le seul héritier, par constitution du 30 avril 1580, et garantie par une maison sise rue des Eneriquestrate appelée la maison de 'Saint-Gerigny', moyennant la somme de 88 livres 16 sols tournois pour le principal et bon payement des arrérages échus qui n'ont pas encore été touchés. (1)
xsd:date
1618-05-24
24 mai 1618
MC/ET/VI/420
Transport par François Pourbus, peintre et valet de chambre ordinaire du roi, demeurant à Saint-Germain-des-Prés, rue sur le fossé d'entre les portes de Buci et de Nesle, à Henry Keynen, messager ordinaire de la ville d'Anvers à Paris, logé rue Saint-Martin, paroisse Saint-Merri, à l'enseigne de l''Écrevisse', de 111 sols tournois de rente annuelle à lui due par Corneille Floris, peintre et sculpteur, demeurant à Anvers, du fait de François Pourbus, son père, dont il est le seul héritier, par constitution du 30 avril 1580, et garantie par une maison sise rue des Eneriquestrate appelée la maison de 'Saint-Gerigny', moyennant la somme de 88 livres 16 sols tournois pour le principal et bon payement des arrérages échus qui n'ont pas encore été touchés. (1)