§ Déclaration par laquelle Marie Senegain, veuve de Jacques de Hoey, peintre et valet de chambre du roi, demeurant au pavillon des Tuileries, fait connaître que, séparée de biens d'avec son mari, elle a renoncé à sa succession, mais demeure cependant créancière de cette dite succession pour la reprise de ses biens dotaux. [A la mort de Jacques de Hoey, il n'a pas été fait d'inventaire, le défunt n'ayant laissé qu'un méchant pourpoint, un haut de chausses et une calotte de cuir, le tout d'une valeur d'environ 4 livres ; la casaque grise qu'il portait au moment de sa mort lui avait été prêtée par un certain Noël Martin, tuilier, qui l'a reprise lors de l'ensevelissement. La veuve déclare aussi qu'elle a dû emprunter à sa soeur un drap pour ensevelir le défunt.]
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§ Déclaration par laquelle Marie Senegain, veuve de Jacques de Hoey, peintre et valet de chambre du roi, demeurant au pavillon des Tuileries, fait connaître que, séparée de biens d'avec son mari, elle a renoncé à sa succession, mais demeure cependant créancière de cette dite succession pour la reprise de ses biens dotaux. [A la mort de Jacques de Hoey, il n'a pas été fait d'inventaire, le défunt n'ayant laissé qu'un méchant pourpoint, un haut de chausses et une calotte de cuir, le tout d'une valeur d'environ 4 livres ; la casaque grise qu'il portait au moment de sa mort lui avait été prêtée par un certain Noël Martin, tuilier, qui l'a reprise lors de l'ensevelissement. La veuve déclare aussi qu'elle a dû emprunter à sa soeur un drap pour ensevelir le défunt.]
xsd:date
1638-12-28
28 décembre 1638
MC/ET/VI/224
§ Déclaration par laquelle Marie Senegain, veuve de Jacques de Hoey, peintre et valet de chambre du roi, demeurant au pavillon des Tuileries, fait connaître que, séparée de biens d'avec son mari, elle a renoncé à sa succession, mais demeure cependant créancière de cette dite succession pour la reprise de ses biens dotaux. [A la mort de Jacques de Hoey, il n'a pas été fait d'inventaire, le défunt n'ayant laissé qu'un méchant pourpoint, un haut de chausses et une calotte de cuir, le tout d'une valeur d'environ 4 livres ; la casaque grise qu'il portait au moment de sa mort lui avait été prêtée par un certain Noël Martin, tuilier, qui l'a reprise lors de l'ensevelissement. La veuve déclare aussi qu'elle a dû emprunter à sa soeur un drap pour ensevelir le défunt.]