Transport par Jean-Christophe de Cau, demeurant rue du Petit-Lion, à Marguerite Pichon, femme de Denis Hubert, marchande publique, de 350 livres, en déduction des 500 livres qu'il lui doit, à recevoir de M. Pennautier, trésorier général du clergé de France, pour les ouvrages de peinture faits par ledit Cau dans le couvent des Grands-Augustins, somme qui doit être payée dans trois mois suivant les conventions arrêtées entre Cau et les religieux. Jusqu'à l'acquittement des 500 livres, la saisie des meubles dudit Cau, faite à la requête de ladite dame Hubert, demeure valable; les meubles saisis ont été placés sous la garde de François-Olivier Laubarède, avocat au parlement, demeurant rue du Petit-Lion.

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/instantiation/041223-c1p6t263plpf--1lhypmxact3kn-i1 an entity of type: Instantiation

Transport par Jean-Christophe de Cau, demeurant rue du Petit-Lion, à Marguerite Pichon, femme de Denis Hubert, marchande publique, de 350 livres, en déduction des 500 livres qu'il lui doit, à recevoir de M. Pennautier, trésorier général du clergé de France, pour les ouvrages de peinture faits par ledit Cau dans le couvent des Grands-Augustins, somme qui doit être payée dans trois mois suivant les conventions arrêtées entre Cau et les religieux. Jusqu'à l'acquittement des 500 livres, la saisie des meubles dudit Cau, faite à la requête de ladite dame Hubert, demeure valable; les meubles saisis ont été placés sous la garde de François-Olivier Laubarède, avocat au parlement, demeurant rue du Petit-Lion. 
xsd:date 1710-04-04 
4 avril 1710 
MC/ET/VI/631 
Transport par Jean-Christophe de Cau, demeurant rue du Petit-Lion, à Marguerite Pichon, femme de Denis Hubert, marchande publique, de 350 livres, en déduction des 500 livres qu'il lui doit, à recevoir de M. Pennautier, trésorier général du clergé de France, pour les ouvrages de peinture faits par ledit Cau dans le couvent des Grands-Augustins, somme qui doit être payée dans trois mois suivant les conventions arrêtées entre Cau et les religieux. Jusqu'à l'acquittement des 500 livres, la saisie des meubles dudit Cau, faite à la requête de ladite dame Hubert, demeure valable; les meubles saisis ont été placés sous la garde de François-Olivier Laubarède, avocat au parlement, demeurant rue du Petit-Lion. 

data from the linked data cloud