Déclaration suivant laquelle Balthazar Duburet, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue Quincampoix, affirme que sur les six places et étaux à bouchers de la rue des Petits-Champs, à lui donnés par le roi, il en appartient quatre à Jean Gaudon, valet de chambre de la reine mère du roi, et à Madeleine Fredel, sa femme, et reconnaissance par Gaudon attestant que, sur le don obtenu du roi par Gilbert Fredel, violon ordinaire de la chambre du roi, son beau-père, de six places de rôtisseurs en la rue des Petits-Champs, deux appartiennent à Duburet. En outre, celui-ci consent à ce que Gaudon et sa femme jouissent de l'un des deux offices, encore à créer, de marchands de vin privilégiés suivant la cour, dont le don a été fait à lui-même ainsi qu'à défunt Gilbert Fredel, ainsi que de huit étaux et échoppes qui, situés en l'île Notre-Dame, au lieu qui sera désigné, lui ont été promis ainsi qu'à Fredel.

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Déclaration suivant laquelle Balthazar Duburet, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue Quincampoix, affirme que sur les six places et étaux à bouchers de la rue des Petits-Champs, à lui donnés par le roi, il en appartient quatre à Jean Gaudon, valet de chambre de la reine mère du roi, et à Madeleine Fredel, sa femme, et reconnaissance par Gaudon attestant que, sur le don obtenu du roi par Gilbert Fredel, violon ordinaire de la chambre du roi, son beau-père, de six places de rôtisseurs en la rue des Petits-Champs, deux appartiennent à Duburet. En outre, celui-ci consent à ce que Gaudon et sa femme jouissent de l'un des deux offices, encore à créer, de marchands de vin privilégiés suivant la cour, dont le don a été fait à lui-même ainsi qu'à défunt Gilbert Fredel, ainsi que de huit étaux et échoppes qui, situés en l'île Notre-Dame, au lieu qui sera désigné, lui ont été promis ainsi qu'à Fredel. 
xsd:date 1629-01-31 
31 janvier 1629 
MC/ET/VII/18 
Déclaration suivant laquelle Balthazar Duburet, violon ordinaire de la chambre du roi, demeurant rue Quincampoix, affirme que sur les six places et étaux à bouchers de la rue des Petits-Champs, à lui donnés par le roi, il en appartient quatre à Jean Gaudon, valet de chambre de la reine mère du roi, et à Madeleine Fredel, sa femme, et reconnaissance par Gaudon attestant que, sur le don obtenu du roi par Gilbert Fredel, violon ordinaire de la chambre du roi, son beau-père, de six places de rôtisseurs en la rue des Petits-Champs, deux appartiennent à Duburet. En outre, celui-ci consent à ce que Gaudon et sa femme jouissent de l'un des deux offices, encore à créer, de marchands de vin privilégiés suivant la cour, dont le don a été fait à lui-même ainsi qu'à défunt Gilbert Fredel, ainsi que de huit étaux et échoppes qui, situés en l'île Notre-Dame, au lieu qui sera désigné, lui ont été promis ainsi qu'à Fredel. 

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