Transaction entre Jacqueline Doreau, veuve de Jean Marcès, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-des-Deux-Jeux-de-paume, d'une part, et François Marcès, poursuivant la maîtrise de barbier-chirurgien, et Barbe Bicheur, sa femme, demeurant même rue, et Guillaume Chaudron, l'un des vingt-quatre violons du roi, et Marie Marcès, sa femme, demeurant rue Gervais-Laurent, enfants de ladite Jacqueline, d'autre part, portant constitution à celle-ci de 75 livres de pension viagère. La veuve fait don à ses enfants de tous ses biens meubles et immeubles, dont elle se réserve l'usufruit, moyennant l'engagement pris par eux de l'assister quand elle sera malade et de l'héberger moyennant 120 livres pour sa nourriture et son logement annuels.
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Transaction entre Jacqueline Doreau, veuve de Jean Marcès, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-des-Deux-Jeux-de-paume, d'une part, et François Marcès, poursuivant la maîtrise de barbier-chirurgien, et Barbe Bicheur, sa femme, demeurant même rue, et Guillaume Chaudron, l'un des vingt-quatre violons du roi, et Marie Marcès, sa femme, demeurant rue Gervais-Laurent, enfants de ladite Jacqueline, d'autre part, portant constitution à celle-ci de 75 livres de pension viagère. La veuve fait don à ses enfants de tous ses biens meubles et immeubles, dont elle se réserve l'usufruit, moyennant l'engagement pris par eux de l'assister quand elle sera malade et de l'héberger moyennant 120 livres pour sa nourriture et son logement annuels.
xsd:date
1637-04-27
27 avril 1637
MC/ET/VII/26
Transaction entre Jacqueline Doreau, veuve de Jean Marcès, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve-des-Deux-Jeux-de-paume, d'une part, et François Marcès, poursuivant la maîtrise de barbier-chirurgien, et Barbe Bicheur, sa femme, demeurant même rue, et Guillaume Chaudron, l'un des vingt-quatre violons du roi, et Marie Marcès, sa femme, demeurant rue Gervais-Laurent, enfants de ladite Jacqueline, d'autre part, portant constitution à celle-ci de 75 livres de pension viagère. La veuve fait don à ses enfants de tous ses biens meubles et immeubles, dont elle se réserve l'usufruit, moyennant l'engagement pris par eux de l'assister quand elle sera malade et de l'héberger moyennant 120 livres pour sa nourriture et son logement annuels.