Vente par Jean-Jacques Bourdois, dessinateur ordinaire du roi, demeurant rue Montorgueil, et Antoinette Bourdois, fille majeure demeurant rue du Sépulcre, à Jean-Baptiste Villette, marchand fripier demeurant rue Tiquetonne, de la moitié par indivis de deux maisons sises rue des Brodeurs, d'un jardin clos de murs planté d'arbres fruitiers, contenant 5 toises de face sur 18 de profondeur, sis rue des Vieilles-Tuileries, et de 30 livres de rente au principal de 600 livres, à prendre sur une maison appartenant à leur oncle, Pierre Bourdois; tous ces biens appartiennent aux vendeurs comme héritiers de Jean Bourdois leur père, marchand chasublier, au moyen de la renonciation faite par Marie Bourdois, sa fille, femme de François Marot, maître peintre; la vente est faite à charge par l'acquéreur d'acquitter certains droits de succession et moyennant 950 livres dont les vendeurs donnent quittance.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/instantiation/041243-c1p6t6drzmjf-ujsao5p1w3qm-i1 an entity of type: Instantiation
Vente par Jean-Jacques Bourdois, dessinateur ordinaire du roi, demeurant rue Montorgueil, et Antoinette Bourdois, fille majeure demeurant rue du Sépulcre, à Jean-Baptiste Villette, marchand fripier demeurant rue Tiquetonne, de la moitié par indivis de deux maisons sises rue des Brodeurs, d'un jardin clos de murs planté d'arbres fruitiers, contenant 5 toises de face sur 18 de profondeur, sis rue des Vieilles-Tuileries, et de 30 livres de rente au principal de 600 livres, à prendre sur une maison appartenant à leur oncle, Pierre Bourdois; tous ces biens appartiennent aux vendeurs comme héritiers de Jean Bourdois leur père, marchand chasublier, au moyen de la renonciation faite par Marie Bourdois, sa fille, femme de François Marot, maître peintre; la vente est faite à charge par l'acquéreur d'acquitter certains droits de succession et moyennant 950 livres dont les vendeurs donnent quittance.
xsd:date
1700-11-12
12 novembre 1700
MC/ET/VII/165
Vente par Jean-Jacques Bourdois, dessinateur ordinaire du roi, demeurant rue Montorgueil, et Antoinette Bourdois, fille majeure demeurant rue du Sépulcre, à Jean-Baptiste Villette, marchand fripier demeurant rue Tiquetonne, de la moitié par indivis de deux maisons sises rue des Brodeurs, d'un jardin clos de murs planté d'arbres fruitiers, contenant 5 toises de face sur 18 de profondeur, sis rue des Vieilles-Tuileries, et de 30 livres de rente au principal de 600 livres, à prendre sur une maison appartenant à leur oncle, Pierre Bourdois; tous ces biens appartiennent aux vendeurs comme héritiers de Jean Bourdois leur père, marchand chasublier, au moyen de la renonciation faite par Marie Bourdois, sa fille, femme de François Marot, maître peintre; la vente est faite à charge par l'acquéreur d'acquitter certains droits de succession et moyennant 950 livres dont les vendeurs donnent quittance.