Déclaration faite au terrier du roi par Jean Leblond, peintre ordinaire du roi en son académie, demeurant sur le pont Saint-Michel, comme tuteur de Jean-Baptiste-Alexandre Leblond, mineur, né de lui et de défunte Jeanne d'Eu, sa femme, Jean Girard, conseiller et intendant des bâtiments du duc d'Orléans, et Barbe d'Eu, son épouse, demeurant à Saint-Cloud, et Louis Masson, avocat au parlement et secrétaire du roi, comme tuteur de Jean-Baptiste-Louis Masson, mineur, né de lui et de défunte Marie d'Eu, son épouse, en leur nom et aux noms de François d'Eu, dit le Romain, de Martin d'Eu, sieur de la Martinière, tous deux commis aux fermes du roi, et de François d'Eu le jeune, aussi employé aux fermes du roi, d'une maison sise quai des Ormes, dans la censive du roi, tenant par derrière à la rue de la Mortellerie, qui leur vient de la succession de Jean d'Eu, contrôleur et visiteur au bureau de la douane et des fermes du roi, et Geneviève Mouzé, père et mère des consorts d'Eu. La déclaration est faite par les comparants pour le huitième de propriété de cette maison qui leur est commun ; les sept autres huitièmes appartiennent à René Motté et Renée du Val, son épouse. - Cens : 6 sols 3 deniers tournois. Obligation d'insculper la fleur de lis.
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Déclaration faite au terrier du roi par Jean Leblond, peintre ordinaire du roi en son académie, demeurant sur le pont Saint-Michel, comme tuteur de Jean-Baptiste-Alexandre Leblond, mineur, né de lui et de défunte Jeanne d'Eu, sa femme, Jean Girard, conseiller et intendant des bâtiments du duc d'Orléans, et Barbe d'Eu, son épouse, demeurant à Saint-Cloud, et Louis Masson, avocat au parlement et secrétaire du roi, comme tuteur de Jean-Baptiste-Louis Masson, mineur, né de lui et de défunte Marie d'Eu, son épouse, en leur nom et aux noms de François d'Eu, dit le Romain, de Martin d'Eu, sieur de la Martinière, tous deux commis aux fermes du roi, et de François d'Eu le jeune, aussi employé aux fermes du roi, d'une maison sise quai des Ormes, dans la censive du roi, tenant par derrière à la rue de la Mortellerie, qui leur vient de la succession de Jean d'Eu, contrôleur et visiteur au bureau de la douane et des fermes du roi, et Geneviève Mouzé, père et mère des consorts d'Eu. La déclaration est faite par les comparants pour le huitième de propriété de cette maison qui leur est commun ; les sept autres huitièmes appartiennent à René Motté et Renée du Val, son épouse. - Cens : 6 sols 3 deniers tournois. Obligation d'insculper la fleur de lis.
xsd:date
1703-01-14
14 janvier 1703
MC/ET/VII/197
Déclaration faite au terrier du roi par Jean Leblond, peintre ordinaire du roi en son académie, demeurant sur le pont Saint-Michel, comme tuteur de Jean-Baptiste-Alexandre Leblond, mineur, né de lui et de défunte Jeanne d'Eu, sa femme, Jean Girard, conseiller et intendant des bâtiments du duc d'Orléans, et Barbe d'Eu, son épouse, demeurant à Saint-Cloud, et Louis Masson, avocat au parlement et secrétaire du roi, comme tuteur de Jean-Baptiste-Louis Masson, mineur, né de lui et de défunte Marie d'Eu, son épouse, en leur nom et aux noms de François d'Eu, dit le Romain, de Martin d'Eu, sieur de la Martinière, tous deux commis aux fermes du roi, et de François d'Eu le jeune, aussi employé aux fermes du roi, d'une maison sise quai des Ormes, dans la censive du roi, tenant par derrière à la rue de la Mortellerie, qui leur vient de la succession de Jean d'Eu, contrôleur et visiteur au bureau de la douane et des fermes du roi, et Geneviève Mouzé, père et mère des consorts d'Eu. La déclaration est faite par les comparants pour le huitième de propriété de cette maison qui leur est commun ; les sept autres huitièmes appartiennent à René Motté et Renée du Val, son épouse. - Cens : 6 sols 3 deniers tournois. Obligation d'insculper la fleur de lis.