Vente par Jean Marie Rivollet dit Lillaudombé, marchand épicier, et Eugénie Alexandrine Paillier, sa femme autorisée, demeurant 12, rue Coquenard, à Etienne Rivollet dit Landrin, ouvrier en soie, domicilié au Noyer (Le Noyer, Savoie), demeurant 172, rue Saint-Martin, d’une pièce de terre labourable située au Noyer, pour la somme principale de 150 francs.

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Vente par Jean Marie Rivollet dit Lillaudombé, marchand épicier, et Eugénie Alexandrine Paillier, sa femme autorisée, demeurant 12, rue Coquenard, à Etienne Rivollet dit Landrin, ouvrier en soie, domicilié au Noyer (Le Noyer, Savoie), demeurant 172, rue Saint-Martin, d’une pièce de terre labourable située au Noyer, pour la somme principale de 150 francs. 
xsd:date 1860-11-14 
14 novembre 1860 
MC/ET/VII/811 
Vente par Jean Marie Rivollet dit Lillaudombé, marchand épicier, et Eugénie Alexandrine Paillier, sa femme autorisée, demeurant 12, rue Coquenard, à Etienne Rivollet dit Landrin, ouvrier en soie, domicilié au Noyer (Le Noyer, Savoie), demeurant 172, rue Saint-Martin, d’une pièce de terre labourable située au Noyer, pour la somme principale de 150 francs. 

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