Accord entre Jacques Michel, tambour et fifre ordinaire de la chambre du roi, agissant au nom de Louise Bonnain, sa femme, demeurant au faubourg Saint-Marcel, rue de Lourcine et au nom de Marie Le Conte, veuve de Noël Bonnain, boulanger, au faubourg Saint-Marcel, d'une part, et Benoît Bidal, marchand au Palais, d'autre part, mettant fin à un procès intenté par ce dernier afin d'obtenir que soient bouchées les vues de la maison dudit Michel sur son jardin et que soit déclaré mitoyen le mur séparant leurs maisons. L'accord se fait conformément aux demandes dudit Bidal, mais en compensation celui-ci quitte Michel et sa femme d'une somme de 87 livres et autorise la mère de celui-ci à ramasser la valeur de six tonneaux sur le bois de la ramée de son jardin pour servir à laver lessives, et celà pendant six années 'sy tant elle vist'.
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Accord entre Jacques Michel, tambour et fifre ordinaire de la chambre du roi, agissant au nom de Louise Bonnain, sa femme, demeurant au faubourg Saint-Marcel, rue de Lourcine et au nom de Marie Le Conte, veuve de Noël Bonnain, boulanger, au faubourg Saint-Marcel, d'une part, et Benoît Bidal, marchand au Palais, d'autre part, mettant fin à un procès intenté par ce dernier afin d'obtenir que soient bouchées les vues de la maison dudit Michel sur son jardin et que soit déclaré mitoyen le mur séparant leurs maisons. L'accord se fait conformément aux demandes dudit Bidal, mais en compensation celui-ci quitte Michel et sa femme d'une somme de 87 livres et autorise la mère de celui-ci à ramasser la valeur de six tonneaux sur le bois de la ramée de son jardin pour servir à laver lessives, et celà pendant six années 'sy tant elle vist'.
xsd:date
1622-03-19
19 mars 1622
MC/ET/VIII/608
Accord entre Jacques Michel, tambour et fifre ordinaire de la chambre du roi, agissant au nom de Louise Bonnain, sa femme, demeurant au faubourg Saint-Marcel, rue de Lourcine et au nom de Marie Le Conte, veuve de Noël Bonnain, boulanger, au faubourg Saint-Marcel, d'une part, et Benoît Bidal, marchand au Palais, d'autre part, mettant fin à un procès intenté par ce dernier afin d'obtenir que soient bouchées les vues de la maison dudit Michel sur son jardin et que soit déclaré mitoyen le mur séparant leurs maisons. L'accord se fait conformément aux demandes dudit Bidal, mais en compensation celui-ci quitte Michel et sa femme d'une somme de 87 livres et autorise la mère de celui-ci à ramasser la valeur de six tonneaux sur le bois de la ramée de son jardin pour servir à laver lessives, et celà pendant six années 'sy tant elle vist'.