Désistement entre Pierre Dartigue, avocat au parlement de Provence, citoyen de Marseille, à présent logé à Paris, rue des Vieux-Augustins, agissant comme procureur de Georges de Scudéry, écuyer (par procuration faite sous seigne privé, en date du 26 juin 1646), et Antoine de Sommaville, marchand libraire, demeurant rue de la Pelleterie, du traité du 6 octobre 1644 entre Scudéry, d’une part, et Sommaville et Augustin Courbé, d’autre part. Sommaville reconnaît avoir reçu de Dartigue la somme de 500 livres qu’il avait avancée à Scudéry sur celle de 1000 livres convenue au traité.
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Désistement entre Pierre Dartigue, avocat au parlement de Provence, citoyen de Marseille, à présent logé à Paris, rue des Vieux-Augustins, agissant comme procureur de Georges de Scudéry, écuyer (par procuration faite sous seigne privé, en date du 26 juin 1646), et Antoine de Sommaville, marchand libraire, demeurant rue de la Pelleterie, du traité du 6 octobre 1644 entre Scudéry, d’une part, et Sommaville et Augustin Courbé, d’autre part. Sommaville reconnaît avoir reçu de Dartigue la somme de 500 livres qu’il avait avancée à Scudéry sur celle de 1000 livres convenue au traité.
xsd:date
1646-07-14
14 juillet 1646
MC/ET/VIII/660
Désistement entre Pierre Dartigue, avocat au parlement de Provence, citoyen de Marseille, à présent logé à Paris, rue des Vieux-Augustins, agissant comme procureur de Georges de Scudéry, écuyer (par procuration faite sous seigne privé, en date du 26 juin 1646), et Antoine de Sommaville, marchand libraire, demeurant rue de la Pelleterie, du traité du 6 octobre 1644 entre Scudéry, d’une part, et Sommaville et Augustin Courbé, d’autre part. Sommaville reconnaît avoir reçu de Dartigue la somme de 500 livres qu’il avait avancée à Scudéry sur celle de 1000 livres convenue au traité.