Quittance par Nicolas Pineau, sculpteur, officier de l'académie de Saint-Luc, demeurant rue Neuve-Notre-Dame-de-Nazareth, à Élisabeth Charlotte Geneviève de Rollinde, dame de Chantereine, veuve de Sébastien de Poilly de Millebourg, seigneur de Chantereine et autres lieux, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie et l'un des secrétaires du roi, de la somme de 270 livres à laquelle ont été arrêtés par le sieur Leroux, architecte, les ouvrages faits par ledit Pineau pour le défunt Chantereine dans sa maison sise rue Sainte-Anne, butte Saint-Roch; moyennant quoi, ledit Pineau remet à ladite veuve son mémoire réglé par Le Roux, arrêté par Chantereine, et contrôlé par Blondel, le 21 novembre 1742.
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Quittance par Nicolas Pineau, sculpteur, officier de l'académie de Saint-Luc, demeurant rue Neuve-Notre-Dame-de-Nazareth, à Élisabeth Charlotte Geneviève de Rollinde, dame de Chantereine, veuve de Sébastien de Poilly de Millebourg, seigneur de Chantereine et autres lieux, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie et l'un des secrétaires du roi, de la somme de 270 livres à laquelle ont été arrêtés par le sieur Leroux, architecte, les ouvrages faits par ledit Pineau pour le défunt Chantereine dans sa maison sise rue Sainte-Anne, butte Saint-Roch; moyennant quoi, ledit Pineau remet à ladite veuve son mémoire réglé par Le Roux, arrêté par Chantereine, et contrôlé par Blondel, le 21 novembre 1742.
xsd:date
1743-02-04
4 février 1743
MC/ET/VIII/1050
Quittance par Nicolas Pineau, sculpteur, officier de l'académie de Saint-Luc, demeurant rue Neuve-Notre-Dame-de-Nazareth, à Élisabeth Charlotte Geneviève de Rollinde, dame de Chantereine, veuve de Sébastien de Poilly de Millebourg, seigneur de Chantereine et autres lieux, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie et l'un des secrétaires du roi, de la somme de 270 livres à laquelle ont été arrêtés par le sieur Leroux, architecte, les ouvrages faits par ledit Pineau pour le défunt Chantereine dans sa maison sise rue Sainte-Anne, butte Saint-Roch; moyennant quoi, ledit Pineau remet à ladite veuve son mémoire réglé par Le Roux, arrêté par Chantereine, et contrôlé par Blondel, le 21 novembre 1742.