§ Transaction entre Jean Bertot, maître des pages de la musique du roi, logé rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur, à l'enseigne du Petit Monde, d'une part, et Jean Blondel, sieur de La Sette, demeurant rue Lévêque, paroisse Saint-Roch, à l'enseigne de la Pomme de pin, d'autre part. Bertot promet de s'entremettre auprès du roi pour que soit commuée la peine de Nicolas Malandin, marchand bourgeois de Caen, condamné à être fustigé pendant trois jours de marché, ' nud en chemise, la corde au col et la torche au poing ' et à être banni à perpétuité; s'il obtient des lettres de commutation portant seulement une peine pécuniaire ou le bannissement, Blondel lui versera 500 livres; si la liberté est obtenue, il recevra 500 autres livres; s'il échoue, il ne touchera que 150 livres.
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§ Transaction entre Jean Bertot, maître des pages de la musique du roi, logé rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur, à l'enseigne du Petit Monde, d'une part, et Jean Blondel, sieur de La Sette, demeurant rue Lévêque, paroisse Saint-Roch, à l'enseigne de la Pomme de pin, d'autre part. Bertot promet de s'entremettre auprès du roi pour que soit commuée la peine de Nicolas Malandin, marchand bourgeois de Caen, condamné à être fustigé pendant trois jours de marché, ' nud en chemise, la corde au col et la torche au poing ' et à être banni à perpétuité; s'il obtient des lettres de commutation portant seulement une peine pécuniaire ou le bannissement, Blondel lui versera 500 livres; si la liberté est obtenue, il recevra 500 autres livres; s'il échoue, il ne touchera que 150 livres.
xsd:date
1638-04-02
2 avril 1638
MC/ET/X/82
§ Transaction entre Jean Bertot, maître des pages de la musique du roi, logé rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur, à l'enseigne du Petit Monde, d'une part, et Jean Blondel, sieur de La Sette, demeurant rue Lévêque, paroisse Saint-Roch, à l'enseigne de la Pomme de pin, d'autre part. Bertot promet de s'entremettre auprès du roi pour que soit commuée la peine de Nicolas Malandin, marchand bourgeois de Caen, condamné à être fustigé pendant trois jours de marché, ' nud en chemise, la corde au col et la torche au poing ' et à être banni à perpétuité; s'il obtient des lettres de commutation portant seulement une peine pécuniaire ou le bannissement, Blondel lui versera 500 livres; si la liberté est obtenue, il recevra 500 autres livres; s'il échoue, il ne touchera que 150 livres.