"Acte en forme de licitation, attribuant à Pierre Cavin, pour 18.000 livres contre 17.800 livres offertes par Jean-Jacques Delongchamp, procureur au parlement, et Elisabeth Guinand, sa femme, la maison à l'enseigne de l'Image Saint-Pierre, anciennement à l'Image du Bon Laboureur, sise rue Montmartre, où demeure ledit Cavin et dont les enchérisseurs étaient copropriétaires : ledit Cavin pour les deux tiers, l'un, hérité de Pierre Cavin, maître et marchand tapissier, et Rose Lobligeois ses père et mère, l'autre, acheté à Pierre-Antoine Derancy, héritier aussi pour un tiers dudit Pierre Cavin et sa femme, par représentation de Marie-Françoise Cavin, sa mère, femme d'Antoine Derancy, et fille des défunts (acte en forme de licitation passé le 18 octobre 1703 devant De Mahault) ; quant audit Delongchamp il était propriétaire de l'autre tiers à cause de sa femme, héritière d'Anne Cavin, sa mère, femme de Claude-Charles Guinand, marchand tapissier, bourgeois de Paris; en conséquence, le sieur Cavin étant redevable envers le sieur Delongchamp de la somme de 6.000 livres, il lui verse 4.000 livres comptant et s'engage à s'acquitter du reste sous forme de rente payée par délégation à Louis Fournier, huissier au Châtelet."@fr . "MC/ET/X/324" . "25 novembre 1716"@fr . "1716-11-25"^^ . . . "Acte en forme de licitation, attribuant à Pierre Cavin, pour 18.000 livres contre 17.800 livres offertes par Jean-Jacques Delongchamp, procureur au parlement, et Elisabeth Guinand, sa femme, la maison à l'enseigne de l'Image Saint-Pierre, anciennement à l'Image du Bon Laboureur, sise rue Montmartre, où demeure ledit Cavin et dont les enchérisseurs étaient copropriétaires : ledit Cavin pour les deux tiers, l'un, hérité de Pierre Cavin, maître et marchand tapissier, et Rose Lobligeois ses père et mère, l'autre, acheté à Pierre-Antoine Derancy, héritier aussi pour un tiers dudit Pierre Cavin et sa femme, par représentation de Marie-Françoise Cavin, sa mère, femme d'Antoine Derancy, et fille des défunts (acte en forme de licitation passé le 18 octobre 1703 devant De Mahault) ; quant audit Delongchamp il était propriétaire de l'autre tiers à cause de sa femme, héritière d'Anne Cavin, sa mère, femme de Claude-Charles Guinand, marchand tapissier, bourgeois de Paris; en conséquence, le sieur Cavin étant redevable envers le sieur Delongchamp de la somme de 6.000 livres, il lui verse 4.000 livres comptant et s'engage à s'acquitter du reste sous forme de rente payée par délégation à Louis Fournier, huissier au Châtelet."@fr . .