Vente par Claude Nicque, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache, à Jean Rousseau, marchand bonnetier, du fonds de bonneterie (marchandises, comptoirs, armoires et tablettes), hérité de sa sœur Catherine Nicque, dont la boutique se trouve dans la maison à l'enseigne de la Ville de Londres où demeure le vendeur et qui leur appartient en partie : le vendeur s'engage à livrer les marchandises à la fin du mois de juin, en attendant ce terme il en fera dresser un état et en fera faire l'estimation par deux marchands bonnetiers ; il reconnaît avoir reçu 8.000 livres qui viendront en déduction du prix ; l'acte comporte aussi bail pour neuf ans, à l'acquéreur, de la boutique et des lieux qu'occupait la défunte, moyennant 800 livres de loyer annuel.
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Vente par Claude Nicque, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache, à Jean Rousseau, marchand bonnetier, du fonds de bonneterie (marchandises, comptoirs, armoires et tablettes), hérité de sa sœur Catherine Nicque, dont la boutique se trouve dans la maison à l'enseigne de la Ville de Londres où demeure le vendeur et qui leur appartient en partie : le vendeur s'engage à livrer les marchandises à la fin du mois de juin, en attendant ce terme il en fera dresser un état et en fera faire l'estimation par deux marchands bonnetiers ; il reconnaît avoir reçu 8.000 livres qui viendront en déduction du prix ; l'acte comporte aussi bail pour neuf ans, à l'acquéreur, de la boutique et des lieux qu'occupait la défunte, moyennant 800 livres de loyer annuel.
xsd:date
1719-03-15
15 mars 1719
MC/ET/X/337
Vente par Claude Nicque, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache, à Jean Rousseau, marchand bonnetier, du fonds de bonneterie (marchandises, comptoirs, armoires et tablettes), hérité de sa sœur Catherine Nicque, dont la boutique se trouve dans la maison à l'enseigne de la Ville de Londres où demeure le vendeur et qui leur appartient en partie : le vendeur s'engage à livrer les marchandises à la fin du mois de juin, en attendant ce terme il en fera dresser un état et en fera faire l'estimation par deux marchands bonnetiers ; il reconnaît avoir reçu 8.000 livres qui viendront en déduction du prix ; l'acte comporte aussi bail pour neuf ans, à l'acquéreur, de la boutique et des lieux qu'occupait la défunte, moyennant 800 livres de loyer annuel.