Inventaire après décès de Marie Tartarin, veuve de Jacques Raclot, bourgeois de Paris, décédée aux galeries du Louvre chez René Frémin, son neveu qui l'avait prise en pension, dressé à la requête dudit Frémin, sculpteur ordinaire du roi, et premier sculpteur de Sa Majesté Catholique, représenté par Suzanne Cartaud, sa femme, d'Alexandre Frémin, bourgeois de Paris, demeurant aux galeries du Louvre, d'Élisabeth Frémin, femme séparée de biens de Pierre Raclot, en présence de Thomas-Simon Gueullette, substitut du procureur du roi, appelé à cause de l'absence de René Frémin, alors en Espagne et de celle de Jean-Baptiste-Ovide Frémin, bourgeois de La Rochelle, lesdits Frémin frères et soeurs, héritiers de la défunte, leur tante maternelle.
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Inventaire après décès de Marie Tartarin, veuve de Jacques Raclot, bourgeois de Paris, décédée aux galeries du Louvre chez René Frémin, son neveu qui l'avait prise en pension, dressé à la requête dudit Frémin, sculpteur ordinaire du roi, et premier sculpteur de Sa Majesté Catholique, représenté par Suzanne Cartaud, sa femme, d'Alexandre Frémin, bourgeois de Paris, demeurant aux galeries du Louvre, d'Élisabeth Frémin, femme séparée de biens de Pierre Raclot, en présence de Thomas-Simon Gueullette, substitut du procureur du roi, appelé à cause de l'absence de René Frémin, alors en Espagne et de celle de Jean-Baptiste-Ovide Frémin, bourgeois de La Rochelle, lesdits Frémin frères et soeurs, héritiers de la défunte, leur tante maternelle.
xsd:date
1730-02-14
14 février 1730
MC/ET/X/388
Inventaire après décès de Marie Tartarin, veuve de Jacques Raclot, bourgeois de Paris, décédée aux galeries du Louvre chez René Frémin, son neveu qui l'avait prise en pension, dressé à la requête dudit Frémin, sculpteur ordinaire du roi, et premier sculpteur de Sa Majesté Catholique, représenté par Suzanne Cartaud, sa femme, d'Alexandre Frémin, bourgeois de Paris, demeurant aux galeries du Louvre, d'Élisabeth Frémin, femme séparée de biens de Pierre Raclot, en présence de Thomas-Simon Gueullette, substitut du procureur du roi, appelé à cause de l'absence de René Frémin, alors en Espagne et de celle de Jean-Baptiste-Ovide Frémin, bourgeois de La Rochelle, lesdits Frémin frères et soeurs, héritiers de la défunte, leur tante maternelle.