Constitution par Michel Nyon, dit La Fons, archer des gardes du corps du roi, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, à Jacques Mollinard, marchand, bourgeois de Paris, demeurant sous les piliers de la Tonnellerie, de 50 livres de rente annuelle et perpétuelle, moyennant 800 livres. Au payement de cette rente sont hypothéquées partiellement une maison rue des Vieilles-Étuves, une autre rue de la Croix-Neuve, et une troisième rue Saint-Honoré, qui lui appartiennent en indivis avec ses soeurs du fait de la succession de son père Claude Nyon, dit La Fons, et de celles de Claude, Jean et Marguerite Nyon ses frères et soeur.

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Constitution par Michel Nyon, dit La Fons, archer des gardes du corps du roi, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, à Jacques Mollinard, marchand, bourgeois de Paris, demeurant sous les piliers de la Tonnellerie, de 50 livres de rente annuelle et perpétuelle, moyennant 800 livres. Au payement de cette rente sont hypothéquées partiellement une maison rue des Vieilles-Étuves, une autre rue de la Croix-Neuve, et une troisième rue Saint-Honoré, qui lui appartiennent en indivis avec ses soeurs du fait de la succession de son père Claude Nyon, dit La Fons, et de celles de Claude, Jean et Marguerite Nyon ses frères et soeur. 
xsd:date 1619-10-31 
31 octobre 1619 
MC/ET/XV/29 
Constitution par Michel Nyon, dit La Fons, archer des gardes du corps du roi, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, à Jacques Mollinard, marchand, bourgeois de Paris, demeurant sous les piliers de la Tonnellerie, de 50 livres de rente annuelle et perpétuelle, moyennant 800 livres. Au payement de cette rente sont hypothéquées partiellement une maison rue des Vieilles-Étuves, une autre rue de la Croix-Neuve, et une troisième rue Saint-Honoré, qui lui appartiennent en indivis avec ses soeurs du fait de la succession de son père Claude Nyon, dit La Fons, et de celles de Claude, Jean et Marguerite Nyon ses frères et soeur. 

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