Échange entre Ancelot Duingue et Anne Thoireau, sa femme, demeurant rue du Chantre, d'une part, et Jérôme Bontemps, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Soly, d'autre part. Duingue et sa femme cèdent une maison sise au faubourg Saint-Honoré au bas de la rue des Moineaux, comportant deux salles basses, quatre chambres au premier et deux greniers, avec cour, puits et petit pavillon ayant volet à pigeon et couverture d'ardoise, contre une place sise à la Villeneuve-sur-Gravois, rue Beauregard, près la porte Saint-Denis, contenant 15 pieds de large sur 13 toises de profondeur, et moyennant payement d'une soulte de 1.425 livres dont Duingue et sa femme sont acquittés par Bontemps.
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Échange entre Ancelot Duingue et Anne Thoireau, sa femme, demeurant rue du Chantre, d'une part, et Jérôme Bontemps, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Soly, d'autre part. Duingue et sa femme cèdent une maison sise au faubourg Saint-Honoré au bas de la rue des Moineaux, comportant deux salles basses, quatre chambres au premier et deux greniers, avec cour, puits et petit pavillon ayant volet à pigeon et couverture d'ardoise, contre une place sise à la Villeneuve-sur-Gravois, rue Beauregard, près la porte Saint-Denis, contenant 15 pieds de large sur 13 toises de profondeur, et moyennant payement d'une soulte de 1.425 livres dont Duingue et sa femme sont acquittés par Bontemps.
xsd:date
1623-09-15
15 septembre 1623
MC/ET/XV/36
Échange entre Ancelot Duingue et Anne Thoireau, sa femme, demeurant rue du Chantre, d'une part, et Jérôme Bontemps, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Soly, d'autre part. Duingue et sa femme cèdent une maison sise au faubourg Saint-Honoré au bas de la rue des Moineaux, comportant deux salles basses, quatre chambres au premier et deux greniers, avec cour, puits et petit pavillon ayant volet à pigeon et couverture d'ardoise, contre une place sise à la Villeneuve-sur-Gravois, rue Beauregard, près la porte Saint-Denis, contenant 15 pieds de large sur 13 toises de profondeur, et moyennant payement d'une soulte de 1.425 livres dont Duingue et sa femme sont acquittés par Bontemps.