Constitution par Nicolas Guillain, dit de Cambray, maître peintre et sculpteur, et sa femme, Hélène Delatte, demeurant à l'enseigne de Notre-Dame de Liesse, par leur fils Simon Guillain, dit de Cambray, maître peintre et sculpteur, et sa femme, Germaine Cochet, tous demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint- Merri, à Nicolas Serre, chirurgien de la feue reine Marguerite, demeurant même rue, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, d'une rente au principal de 1 600 l., garantie par la maison de Nicolas Guillain et par une autre place sur l'égout de la Vieille-Rue-du-Temple, où Simon Guillain bâtit une maison. Au payement des intérêts sont hypothéqués les biens immeubles des constituants, parmi lesquels figure une maison en construction au coin des rues du Temple et de Bretagne, tenant au sieur Désert, joueur d'instruments. Pour l'acquisition de la place et maison en cours de construction (23 mai 1621 devant Charlet et Bruneau), Simon doit 1 400 l. à Jean Thiriot, maître maçon. À la suite : - Du même jour. Contre-lettre des Guillain déclarant que la constitution n'a été établie qu'à leur profit. En marge : - 1626, 24 janvier.- Quittance de rachat de la rente.
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Constitution par Nicolas Guillain, dit de Cambray, maître peintre et sculpteur, et sa femme, Hélène Delatte, demeurant à l'enseigne de Notre-Dame de Liesse, par leur fils Simon Guillain, dit de Cambray, maître peintre et sculpteur, et sa femme, Germaine Cochet, tous demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint- Merri, à Nicolas Serre, chirurgien de la feue reine Marguerite, demeurant même rue, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, d'une rente au principal de 1 600 l., garantie par la maison de Nicolas Guillain et par une autre place sur l'égout de la Vieille-Rue-du-Temple, où Simon Guillain bâtit une maison. Au payement des intérêts sont hypothéqués les biens immeubles des constituants, parmi lesquels figure une maison en construction au coin des rues du Temple et de Bretagne, tenant au sieur Désert, joueur d'instruments. Pour l'acquisition de la place et maison en cours de construction (23 mai 1621 devant Charlet et Bruneau), Simon doit 1 400 l. à Jean Thiriot, maître maçon. À la suite : - Du même jour. Contre-lettre des Guillain déclarant que la constitution n'a été établie qu'à leur profit. En marge : - 1626, 24 janvier.- Quittance de rachat de la rente.
xsd:date
1622-02-19
19 février 1622
MC/ET/XVI/49
Constitution par Nicolas Guillain, dit de Cambray, maître peintre et sculpteur, et sa femme, Hélène Delatte, demeurant à l'enseigne de Notre-Dame de Liesse, par leur fils Simon Guillain, dit de Cambray, maître peintre et sculpteur, et sa femme, Germaine Cochet, tous demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint- Merri, à Nicolas Serre, chirurgien de la feue reine Marguerite, demeurant même rue, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, d'une rente au principal de 1 600 l., garantie par la maison de Nicolas Guillain et par une autre place sur l'égout de la Vieille-Rue-du-Temple, où Simon Guillain bâtit une maison. Au payement des intérêts sont hypothéqués les biens immeubles des constituants, parmi lesquels figure une maison en construction au coin des rues du Temple et de Bretagne, tenant au sieur Désert, joueur d'instruments. Pour l'acquisition de la place et maison en cours de construction (23 mai 1621 devant Charlet et Bruneau), Simon doit 1 400 l. à Jean Thiriot, maître maçon. À la suite : - Du même jour. Contre-lettre des Guillain déclarant que la constitution n'a été établie qu'à leur profit. En marge : - 1626, 24 janvier.- Quittance de rachat de la rente.