Inventaire après décès de Perrette Mouton, morte le 12 décembre 1638, demeurant à Paris, rue des Prouvaires, à l’enseigne du Petit Languedoc, veuve en premières noces d’Antoine Ager, vivant sergent à verge au Châtelet de Paris, et veuve en secondes noces de Pierre Doynet, vivant bourgeois de Paris, à la requête de Jacques Mouton, son neveu, officier d’échansonnerie de monseigneur le prince de Condé, demeurant à Charenton Saint-Maurice, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernières volontés de ladite défunte, et comme habile à se dire et porter héritier pour un tiers de ladite défunte, sa tante, et encore comme se portant fort d’Antoine Mouton, son frère, argentier de l’écurie dudit prince de Condé, aussi héritier pour un autre tiers de ladite défunte, sa tante. En la présence de Claude Guibert, majeure, usant et jouissant de ses droits, habile à être héritière pour l’autre tiers de ladite défunte, sa sœur utérine. Et encore en la présence d’Antoine Vidallot, maître cordonnier à Paris, qui a fait apposer les scellés sur les biens de la défunte, de Me Thomas Poullet, procureur au Châtelet, de noble homme Me Jean Pierre de Vagnieulx, avocat au Conseil privé du roi, propriétaire de la maison où ladite défunte est décédée, de Jacques Leroy, maître cordonnier à Paris, de Roberde Jeanneau, servante de ladite défunte, et de Michel Doynet, aussi maître cordonnier à Paris, tous opposants auxdits scellés.
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Inventaire après décès de Perrette Mouton, morte le 12 décembre 1638, demeurant à Paris, rue des Prouvaires, à l’enseigne du Petit Languedoc, veuve en premières noces d’Antoine Ager, vivant sergent à verge au Châtelet de Paris, et veuve en secondes noces de Pierre Doynet, vivant bourgeois de Paris, à la requête de Jacques Mouton, son neveu, officier d’échansonnerie de monseigneur le prince de Condé, demeurant à Charenton Saint-Maurice, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernières volontés de ladite défunte, et comme habile à se dire et porter héritier pour un tiers de ladite défunte, sa tante, et encore comme se portant fort d’Antoine Mouton, son frère, argentier de l’écurie dudit prince de Condé, aussi héritier pour un autre tiers de ladite défunte, sa tante. En la présence de Claude Guibert, majeure, usant et jouissant de ses droits, habile à être héritière pour l’autre tiers de ladite défunte, sa sœur utérine. Et encore en la présence d’Antoine Vidallot, maître cordonnier à Paris, qui a fait apposer les scellés sur les biens de la défunte, de Me Thomas Poullet, procureur au Châtelet, de noble homme Me Jean Pierre de Vagnieulx, avocat au Conseil privé du roi, propriétaire de la maison où ladite défunte est décédée, de Jacques Leroy, maître cordonnier à Paris, de Roberde Jeanneau, servante de ladite défunte, et de Michel Doynet, aussi maître cordonnier à Paris, tous opposants auxdits scellés.
xsd:date
1638-12-13
13 décembre 1638
MC/ET/XVI/447
Inventaire après décès de Perrette Mouton, morte le 12 décembre 1638, demeurant à Paris, rue des Prouvaires, à l’enseigne du Petit Languedoc, veuve en premières noces d’Antoine Ager, vivant sergent à verge au Châtelet de Paris, et veuve en secondes noces de Pierre Doynet, vivant bourgeois de Paris, à la requête de Jacques Mouton, son neveu, officier d’échansonnerie de monseigneur le prince de Condé, demeurant à Charenton Saint-Maurice, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernières volontés de ladite défunte, et comme habile à se dire et porter héritier pour un tiers de ladite défunte, sa tante, et encore comme se portant fort d’Antoine Mouton, son frère, argentier de l’écurie dudit prince de Condé, aussi héritier pour un autre tiers de ladite défunte, sa tante. En la présence de Claude Guibert, majeure, usant et jouissant de ses droits, habile à être héritière pour l’autre tiers de ladite défunte, sa sœur utérine. Et encore en la présence d’Antoine Vidallot, maître cordonnier à Paris, qui a fait apposer les scellés sur les biens de la défunte, de Me Thomas Poullet, procureur au Châtelet, de noble homme Me Jean Pierre de Vagnieulx, avocat au Conseil privé du roi, propriétaire de la maison où ladite défunte est décédée, de Jacques Leroy, maître cordonnier à Paris, de Roberde Jeanneau, servante de ladite défunte, et de Michel Doynet, aussi maître cordonnier à Paris, tous opposants auxdits scellés.