Décharge par Jean Massonnet, procureur de Jean François de La Rocque, sieur de Roberval, lieutenant général pour le roi de l'armée qui doit aller au Canada, à Jean Coiffart, avocat au Parlement, de la procuration qu'il lui a passée en même temps qu'à Guillaume de Magdalen, écuyer, sieur de Montataire, le 6 février dernier, pour tirer en son nom des prisons des ressorts des parlements de Paris et de Dijon des prisonniers consentants susceptibles de l'accompagner dans son voyage. Jean Coiffart n'aurait trouvé qu'un certain Jean Goucin (ou Gonnin), condamné à la pendaison par le bailli d'Autun, transporté à la Conciergerie du Palais à Paris, mais pour qui aucune caution n'a pu être trouvée pour le paiement de son naulage (voyage par mer), faute de quoi il sera renvoyé à son exécution.
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Décharge par Jean Massonnet, procureur de Jean François de La Rocque, sieur de Roberval, lieutenant général pour le roi de l'armée qui doit aller au Canada, à Jean Coiffart, avocat au Parlement, de la procuration qu'il lui a passée en même temps qu'à Guillaume de Magdalen, écuyer, sieur de Montataire, le 6 février dernier, pour tirer en son nom des prisons des ressorts des parlements de Paris et de Dijon des prisonniers consentants susceptibles de l'accompagner dans son voyage. Jean Coiffart n'aurait trouvé qu'un certain Jean Goucin (ou Gonnin), condamné à la pendaison par le bailli d'Autun, transporté à la Conciergerie du Palais à Paris, mais pour qui aucune caution n'a pu être trouvée pour le paiement de son naulage (voyage par mer), faute de quoi il sera renvoyé à son exécution.
xsd:date
1541-04-20
20 avril 1541
MC/ET/XIX/158
Décharge par Jean Massonnet, procureur de Jean François de La Rocque, sieur de Roberval, lieutenant général pour le roi de l'armée qui doit aller au Canada, à Jean Coiffart, avocat au Parlement, de la procuration qu'il lui a passée en même temps qu'à Guillaume de Magdalen, écuyer, sieur de Montataire, le 6 février dernier, pour tirer en son nom des prisons des ressorts des parlements de Paris et de Dijon des prisonniers consentants susceptibles de l'accompagner dans son voyage. Jean Coiffart n'aurait trouvé qu'un certain Jean Goucin (ou Gonnin), condamné à la pendaison par le bailli d'Autun, transporté à la Conciergerie du Palais à Paris, mais pour qui aucune caution n'a pu être trouvée pour le paiement de son naulage (voyage par mer), faute de quoi il sera renvoyé à son exécution.