Obligation de Guillaume MARCHANT, maçon et tailleur de pierres, bourgeois de Paris, envers Jean CHERRNYER, seigneur de Malestroit, conseiller et notaire et secrétaire du roi, et receveur général de ses finances, pour le prêt d'une somme de 100 écus d'or au soleil à 45 s.t. pièce pour convenir à ses necessités, dont le prêteur se remboursera sur la vente par décrêt qui doit être faite de la maison de feu Jacques MARCEL, seigneur de Verlegrant, en laquelle ledit de Malestroit demeure à présent, à la criée de laquelle ledit MARCHANT s'oppose pour la somme de 850 l.t., qu'il dit lui être dûe par le défunt sur le reste des ouvrages de maçonnerie par lui faits pour l'édifice de ladite maison.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/instantiation/041577-c1p6w1mzh30b--16nm6isczuy67-i1 an entity of type: Instantiation
Obligation de Guillaume MARCHANT, maçon et tailleur de pierres, bourgeois de Paris, envers Jean CHERRNYER, seigneur de Malestroit, conseiller et notaire et secrétaire du roi, et receveur général de ses finances, pour le prêt d'une somme de 100 écus d'or au soleil à 45 s.t. pièce pour convenir à ses necessités, dont le prêteur se remboursera sur la vente par décrêt qui doit être faite de la maison de feu Jacques MARCEL, seigneur de Verlegrant, en laquelle ledit de Malestroit demeure à présent, à la criée de laquelle ledit MARCHANT s'oppose pour la somme de 850 l.t., qu'il dit lui être dûe par le défunt sur le reste des ouvrages de maçonnerie par lui faits pour l'édifice de ladite maison.
xsd:date
1555-12-29
29 décembre 1555
MC/ET/XIX/199
Obligation de Guillaume MARCHANT, maçon et tailleur de pierres, bourgeois de Paris, envers Jean CHERRNYER, seigneur de Malestroit, conseiller et notaire et secrétaire du roi, et receveur général de ses finances, pour le prêt d'une somme de 100 écus d'or au soleil à 45 s.t. pièce pour convenir à ses necessités, dont le prêteur se remboursera sur la vente par décrêt qui doit être faite de la maison de feu Jacques MARCEL, seigneur de Verlegrant, en laquelle ledit de Malestroit demeure à présent, à la criée de laquelle ledit MARCHANT s'oppose pour la somme de 850 l.t., qu'il dit lui être dûe par le défunt sur le reste des ouvrages de maçonnerie par lui faits pour l'édifice de ladite maison.