§ Quittance et mainlevée par Guillaume LE PELLETIER, procureur fiscal à SABLE, y demeurant, à présent logé rue de la Huchette en la maison du Chat qui perche, au nom et comme procureur de Marthe LEVESQUE, veuve de Julien PESCHART, avocat à SABLE, sa belle mère, héritier de défunt Olivier LEVESQUE, son frère, et autres héritiers de feu Olivier LEVESQUE à Révérend Père François de CORNEILHAN, évêque de Rodez, conseiller du roi en ses conseils d'état et privé, à présent à Paris, par les mains de Michel HERSANT, son secrétaire, de la somme de 698 l. à laquelle il a été condamné comme héritier de Dom Bernard de CORNEILHAN, son frère, et pour laquelle ses carrosses et chevaux qui avaient été saisis lui sont rendus.
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§ Quittance et mainlevée par Guillaume LE PELLETIER, procureur fiscal à SABLE, y demeurant, à présent logé rue de la Huchette en la maison du Chat qui perche, au nom et comme procureur de Marthe LEVESQUE, veuve de Julien PESCHART, avocat à SABLE, sa belle mère, héritier de défunt Olivier LEVESQUE, son frère, et autres héritiers de feu Olivier LEVESQUE à Révérend Père François de CORNEILHAN, évêque de Rodez, conseiller du roi en ses conseils d'état et privé, à présent à Paris, par les mains de Michel HERSANT, son secrétaire, de la somme de 698 l. à laquelle il a été condamné comme héritier de Dom Bernard de CORNEILHAN, son frère, et pour laquelle ses carrosses et chevaux qui avaient été saisis lui sont rendus.
xsd:date
1606-03-01
1er mars 1606
MC/ET/XXIII/232 fol. VII/XX/XVII
§ Quittance et mainlevée par Guillaume LE PELLETIER, procureur fiscal à SABLE, y demeurant, à présent logé rue de la Huchette en la maison du Chat qui perche, au nom et comme procureur de Marthe LEVESQUE, veuve de Julien PESCHART, avocat à SABLE, sa belle mère, héritier de défunt Olivier LEVESQUE, son frère, et autres héritiers de feu Olivier LEVESQUE à Révérend Père François de CORNEILHAN, évêque de Rodez, conseiller du roi en ses conseils d'état et privé, à présent à Paris, par les mains de Michel HERSANT, son secrétaire, de la somme de 698 l. à laquelle il a été condamné comme héritier de Dom Bernard de CORNEILHAN, son frère, et pour laquelle ses carrosses et chevaux qui avaient été saisis lui sont rendus.