Reconnaissance par Jean-Baptiste de GRANNON, messager juré ordinaire héréditaire de la ville de Lyon à Turin et de Turin à Lyon, Grenoble, Marseille et Pont-de-Beauvoisin, demeurant ordinairement à Lyon, étant à présent logé à Paris rue de la Cerisaie, en son nom et pour Jeanne GAUDIN, sa femme, envers Julien LE BIGOT, receveur des barrages de Paris, d'une obligation. Et ce en présence et consentement de Pierre de GRANNON (signe GRANDNON) et de Jeanne LE TEXIER, sa femme, demeurant rue de la Cerisaie, qui consente à ce que Jean-Baptiste de GRANNON paye ledit LE BIGOT sur et en moins de ce qu'il leur doit ; Autre consentement par Pierre de GRANNON à ce que à Jean-Baptiste de GRANNON jouisse entièrement des messageries qu'il lui a cédées.
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Reconnaissance par Jean-Baptiste de GRANNON, messager juré ordinaire héréditaire de la ville de Lyon à Turin et de Turin à Lyon, Grenoble, Marseille et Pont-de-Beauvoisin, demeurant ordinairement à Lyon, étant à présent logé à Paris rue de la Cerisaie, en son nom et pour Jeanne GAUDIN, sa femme, envers Julien LE BIGOT, receveur des barrages de Paris, d'une obligation. Et ce en présence et consentement de Pierre de GRANNON (signe GRANDNON) et de Jeanne LE TEXIER, sa femme, demeurant rue de la Cerisaie, qui consente à ce que Jean-Baptiste de GRANNON paye ledit LE BIGOT sur et en moins de ce qu'il leur doit ; Autre consentement par Pierre de GRANNON à ce que à Jean-Baptiste de GRANNON jouisse entièrement des messageries qu'il lui a cédées.
xsd:date
1625-10-06
6 octobre 1625
MC/ET/XXIII/263
Reconnaissance par Jean-Baptiste de GRANNON, messager juré ordinaire héréditaire de la ville de Lyon à Turin et de Turin à Lyon, Grenoble, Marseille et Pont-de-Beauvoisin, demeurant ordinairement à Lyon, étant à présent logé à Paris rue de la Cerisaie, en son nom et pour Jeanne GAUDIN, sa femme, envers Julien LE BIGOT, receveur des barrages de Paris, d'une obligation. Et ce en présence et consentement de Pierre de GRANNON (signe GRANDNON) et de Jeanne LE TEXIER, sa femme, demeurant rue de la Cerisaie, qui consente à ce que Jean-Baptiste de GRANNON paye ledit LE BIGOT sur et en moins de ce qu'il leur doit ; Autre consentement par Pierre de GRANNON à ce que à Jean-Baptiste de GRANNON jouisse entièrement des messageries qu'il lui a cédées.