Inventaire après décès de Georges Denobles (alias De Noble), marchand bourgeois de Paris, à la requête de Pierre Pelletier procureur en la cour de Parlement à Paris, au nom et comme tuteur et curateur de Laurent Denobles, Marie Denobles, Catherine Denobles et Elisabeth Denobles, enfants mineurs d’ans du défunt et de défunte Marie Absire, jadis sa femme, lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt leur père, et en la présence de Séraphin Gourgon, maître maçon à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, aussi en la présence d’Aliénor Delacroix, à présent veuve d’icelui défunt Georges Denobles, qui a protesté que le présent inventaire ne lui puisse nuire ni préjudicier, ni à ses conventions matrimoniales, ni aussi à la renonciation qu’elle entend faire à la communauté de biens entre ledit défunt et elle. Les biens étant en une chambre au premier étage que tenait et occupait ledit défunt, et où il est décédé, des appartenances d’une maison assise à Paris en la place de Grève, où pend pour enseigne la Double Fleur de Lys. Dans les papiers : vente pardevant Camus et Chantemerle, le 14 octobre 1595, par Pierre Dumesnil, écuyer, demeurant à Paris, et Marie Absire la jeune sa femme, audit défunt Georges Denoble et Marie Absire l’aînée sa femme, de la moitié leur appartenant, d’une maison, cour et jardin assise au village de Bagnolet, derrière l’église dudit lieu ; l’autre moitié appartenant à icelle défunte Marie Asbire l’aînée par le décès de Marie Seneschal leur mère, qui fut légataire universelle de défunte Jeanne Absire dite De La Salle, sœur desdites Marie Absire l’aînée et la jeune. Arrêt de la cour de Parlement du 26 juillet 1597, entre Marie Absire, héritière de Marie Seneschal sa mère et de Jeanne Absire dite De La Salle, sa sœur d’une part, et Pierre Dumesnil, archer des gardes du corps du roi et Marie Absire sa femme, aussi héritier à cause d’elle desdites défuntes.
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Inventaire après décès de Georges Denobles (alias De Noble), marchand bourgeois de Paris, à la requête de Pierre Pelletier procureur en la cour de Parlement à Paris, au nom et comme tuteur et curateur de Laurent Denobles, Marie Denobles, Catherine Denobles et Elisabeth Denobles, enfants mineurs d’ans du défunt et de défunte Marie Absire, jadis sa femme, lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt leur père, et en la présence de Séraphin Gourgon, maître maçon à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, aussi en la présence d’Aliénor Delacroix, à présent veuve d’icelui défunt Georges Denobles, qui a protesté que le présent inventaire ne lui puisse nuire ni préjudicier, ni à ses conventions matrimoniales, ni aussi à la renonciation qu’elle entend faire à la communauté de biens entre ledit défunt et elle. Les biens étant en une chambre au premier étage que tenait et occupait ledit défunt, et où il est décédé, des appartenances d’une maison assise à Paris en la place de Grève, où pend pour enseigne la Double Fleur de Lys. Dans les papiers : vente pardevant Camus et Chantemerle, le 14 octobre 1595, par Pierre Dumesnil, écuyer, demeurant à Paris, et Marie Absire la jeune sa femme, audit défunt Georges Denoble et Marie Absire l’aînée sa femme, de la moitié leur appartenant, d’une maison, cour et jardin assise au village de Bagnolet, derrière l’église dudit lieu ; l’autre moitié appartenant à icelle défunte Marie Asbire l’aînée par le décès de Marie Seneschal leur mère, qui fut légataire universelle de défunte Jeanne Absire dite De La Salle, sœur desdites Marie Absire l’aînée et la jeune. Arrêt de la cour de Parlement du 26 juillet 1597, entre Marie Absire, héritière de Marie Seneschal sa mère et de Jeanne Absire dite De La Salle, sa sœur d’une part, et Pierre Dumesnil, archer des gardes du corps du roi et Marie Absire sa femme, aussi héritier à cause d’elle desdites défuntes.
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1598-04-03
3 avril 1598
MC/ET/XXIV/141
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8 f..
Inventaire après décès de Georges Denobles (alias De Noble), marchand bourgeois de Paris, à la requête de Pierre Pelletier procureur en la cour de Parlement à Paris, au nom et comme tuteur et curateur de Laurent Denobles, Marie Denobles, Catherine Denobles et Elisabeth Denobles, enfants mineurs d’ans du défunt et de défunte Marie Absire, jadis sa femme, lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt leur père, et en la présence de Séraphin Gourgon, maître maçon à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, aussi en la présence d’Aliénor Delacroix, à présent veuve d’icelui défunt Georges Denobles, qui a protesté que le présent inventaire ne lui puisse nuire ni préjudicier, ni à ses conventions matrimoniales, ni aussi à la renonciation qu’elle entend faire à la communauté de biens entre ledit défunt et elle. Les biens étant en une chambre au premier étage que tenait et occupait ledit défunt, et où il est décédé, des appartenances d’une maison assise à Paris en la place de Grève, où pend pour enseigne la Double Fleur de Lys. Dans les papiers : vente pardevant Camus et Chantemerle, le 14 octobre 1595, par Pierre Dumesnil, écuyer, demeurant à Paris, et Marie Absire la jeune sa femme, audit défunt Georges Denoble et Marie Absire l’aînée sa femme, de la moitié leur appartenant, d’une maison, cour et jardin assise au village de Bagnolet, derrière l’église dudit lieu ; l’autre moitié appartenant à icelle défunte Marie Asbire l’aînée par le décès de Marie Seneschal leur mère, qui fut légataire universelle de défunte Jeanne Absire dite De La Salle, sœur desdites Marie Absire l’aînée et la jeune. Arrêt de la cour de Parlement du 26 juillet 1597, entre Marie Absire, héritière de Marie Seneschal sa mère et de Jeanne Absire dite De La Salle, sa sœur d’une part, et Pierre Dumesnil, archer des gardes du corps du roi et Marie Absire sa femme, aussi héritier à cause d’elle desdites défuntes.