Inventaire après décès de Louis Lojard, procureur au Châtelet de Paris, à la requête Madeleine Ogeron, sa femme et auparavant veuve de Ange Lemaire, au nom et comme exécutrice du testament nuncupatif du défunt et encore créancière pour ses douaire et conventions matrimoniales portées en son contrat de mariage. En la présence de Gaspard Bouchart (il signe Bouchard), maître chapelier bourgeois de Paris, au nom et comme subrogé tuteur de Marie Poncelles fille mineure de feus Pierre Poncelles et Catherine Lojard, jadis sa femme, ladite mineure habile à se dire, porter et nommer héritière des propres paternels du défunt Louis Lojard, son oncle maternel. Et encore icelle mineure seule héritière de défunte Etiennette Bernyer, son aïeule maternelle, au jour de son décès veuve de Nicolas Lojard. Laquelle Bernyer était aussi habile à se dire, porter et nommer co(?)héritière mobilière du défunt Me Louis Lojard son fils, qu’elle aurait (auquel elle aurait) survécu. Fait en une maison sise à Paris, rue Bertin-Poirée, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, où le défunt faisait sa demeure et serait décédé. Ladite veuve a dit que par contrat de mariage entre le défunt et elle, a été expressément accordé qu’ils ne seraient tenus des dettes l’un de l’autre auxquelles se payeraient sur les biens de celui qui les auraient faites et créés, et qu’à cette fin serait fait inventaire des biens desdits. Suivant laquelle clause elle aurait fait faire inventaire de ce qu’elle avait apporté desdits biens. En si aurait été accordé qu’en cas de renonciation à la communauté elle reprendrait tout ce qu’elle avait apporté avec … au moyen de quoi a requis à toute fin que de raison … procédé au récolement de son inventaire pour voir ce qui défauldera pour le reprendre sur les autres biens du défunt, afin d’éviter à confusion. Et à cet effet la veuve a exhibé aux notaires l’inventaire fait par les notaires soussignés, le 18 mai 1595.
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Inventaire après décès de Louis Lojard, procureur au Châtelet de Paris, à la requête Madeleine Ogeron, sa femme et auparavant veuve de Ange Lemaire, au nom et comme exécutrice du testament nuncupatif du défunt et encore créancière pour ses douaire et conventions matrimoniales portées en son contrat de mariage. En la présence de Gaspard Bouchart (il signe Bouchard), maître chapelier bourgeois de Paris, au nom et comme subrogé tuteur de Marie Poncelles fille mineure de feus Pierre Poncelles et Catherine Lojard, jadis sa femme, ladite mineure habile à se dire, porter et nommer héritière des propres paternels du défunt Louis Lojard, son oncle maternel. Et encore icelle mineure seule héritière de défunte Etiennette Bernyer, son aïeule maternelle, au jour de son décès veuve de Nicolas Lojard. Laquelle Bernyer était aussi habile à se dire, porter et nommer co(?)héritière mobilière du défunt Me Louis Lojard son fils, qu’elle aurait (auquel elle aurait) survécu. Fait en une maison sise à Paris, rue Bertin-Poirée, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, où le défunt faisait sa demeure et serait décédé. Ladite veuve a dit que par contrat de mariage entre le défunt et elle, a été expressément accordé qu’ils ne seraient tenus des dettes l’un de l’autre auxquelles se payeraient sur les biens de celui qui les auraient faites et créés, et qu’à cette fin serait fait inventaire des biens desdits. Suivant laquelle clause elle aurait fait faire inventaire de ce qu’elle avait apporté desdits biens. En si aurait été accordé qu’en cas de renonciation à la communauté elle reprendrait tout ce qu’elle avait apporté avec … au moyen de quoi a requis à toute fin que de raison … procédé au récolement de son inventaire pour voir ce qui défauldera pour le reprendre sur les autres biens du défunt, afin d’éviter à confusion. Et à cet effet la veuve a exhibé aux notaires l’inventaire fait par les notaires soussignés, le 18 mai 1595.
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1599-11-08
8 novembre 1599
MC/ET/XXIV/141
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6 f..
Inventaire après décès de Louis Lojard, procureur au Châtelet de Paris, à la requête Madeleine Ogeron, sa femme et auparavant veuve de Ange Lemaire, au nom et comme exécutrice du testament nuncupatif du défunt et encore créancière pour ses douaire et conventions matrimoniales portées en son contrat de mariage. En la présence de Gaspard Bouchart (il signe Bouchard), maître chapelier bourgeois de Paris, au nom et comme subrogé tuteur de Marie Poncelles fille mineure de feus Pierre Poncelles et Catherine Lojard, jadis sa femme, ladite mineure habile à se dire, porter et nommer héritière des propres paternels du défunt Louis Lojard, son oncle maternel. Et encore icelle mineure seule héritière de défunte Etiennette Bernyer, son aïeule maternelle, au jour de son décès veuve de Nicolas Lojard. Laquelle Bernyer était aussi habile à se dire, porter et nommer co(?)héritière mobilière du défunt Me Louis Lojard son fils, qu’elle aurait (auquel elle aurait) survécu. Fait en une maison sise à Paris, rue Bertin-Poirée, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, où le défunt faisait sa demeure et serait décédé. Ladite veuve a dit que par contrat de mariage entre le défunt et elle, a été expressément accordé qu’ils ne seraient tenus des dettes l’un de l’autre auxquelles se payeraient sur les biens de celui qui les auraient faites et créés, et qu’à cette fin serait fait inventaire des biens desdits. Suivant laquelle clause elle aurait fait faire inventaire de ce qu’elle avait apporté desdits biens. En si aurait été accordé qu’en cas de renonciation à la communauté elle reprendrait tout ce qu’elle avait apporté avec … au moyen de quoi a requis à toute fin que de raison … procédé au récolement de son inventaire pour voir ce qui défauldera pour le reprendre sur les autres biens du défunt, afin d’éviter à confusion. Et à cet effet la veuve a exhibé aux notaires l’inventaire fait par les notaires soussignés, le 18 mai 1595.