Inventaire après décès de Madeleine Vivant, veuve de Charles Aveline, et en premières noces de Jean Castillon, en leur vivant marchands orfèvres bourgeois de Paris. A la requête de Jean Aveline, marchand orfèvre bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte. Et encore à la requête de Nicolas Boule, maître écrivain à Paris, et de Marie Marette sa femme, fille unique de feu Clément Marette, aussi maître orfèvre à Paris, et de Marie Castillon, jadis sa femme qui fut fille desdits défunts Jean Castillon et Madeleine Vivant. Lesdits Jean Aveline et Marie Marette, habiles à se dire et porter héritiers de leur mère et aïeule. Fait en une chambre au premier étage des appartenances d'une maison sise à Paris, rue Geoffroy-Langevin, où la défunte faisait sa demeure, et y serait décédée.
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Inventaire après décès de Madeleine Vivant, veuve de Charles Aveline, et en premières noces de Jean Castillon, en leur vivant marchands orfèvres bourgeois de Paris. A la requête de Jean Aveline, marchand orfèvre bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte. Et encore à la requête de Nicolas Boule, maître écrivain à Paris, et de Marie Marette sa femme, fille unique de feu Clément Marette, aussi maître orfèvre à Paris, et de Marie Castillon, jadis sa femme qui fut fille desdits défunts Jean Castillon et Madeleine Vivant. Lesdits Jean Aveline et Marie Marette, habiles à se dire et porter héritiers de leur mère et aïeule. Fait en une chambre au premier étage des appartenances d'une maison sise à Paris, rue Geoffroy-Langevin, où la défunte faisait sa demeure, et y serait décédée.
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1606-05-24
24 mai 1606
MC/ET/XXIV/143
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6 Fo
Inventaire après décès de Madeleine Vivant, veuve de Charles Aveline, et en premières noces de Jean Castillon, en leur vivant marchands orfèvres bourgeois de Paris. A la requête de Jean Aveline, marchand orfèvre bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte. Et encore à la requête de Nicolas Boule, maître écrivain à Paris, et de Marie Marette sa femme, fille unique de feu Clément Marette, aussi maître orfèvre à Paris, et de Marie Castillon, jadis sa femme qui fut fille desdits défunts Jean Castillon et Madeleine Vivant. Lesdits Jean Aveline et Marie Marette, habiles à se dire et porter héritiers de leur mère et aïeule. Fait en une chambre au premier étage des appartenances d'une maison sise à Paris, rue Geoffroy-Langevin, où la défunte faisait sa demeure, et y serait décédée.