Dépôt de deniers pour la succession de François WEIDLICH, par Ignace KREIBICH, marchand de verre, demeurant ordinairement à Sèvres, associé de Florian ZAHN, négociant en verre à Sèvres, procureur de la veuve de François WEIDLICH, négociant de Stein-Schönau, d'Ignace WEIDLICH, tailleur de verre, de Catherine et Anne-Marie WEIDLICH, frères et soeurs, héritiers de feu François WEIDLICH, leur frère négociant en verre à Paris, dépose 1 205 livres qui sont remis le 7 septembre 1775 à Louis VITASSE, aubergiste, rue Saint-Denis, paroisse Saint-Gilles-Saint-Leu, en présence de ZAHN, sur ce qui lui était dû (2 014 livres) ; est intervenu : Ferdinand PALME, marchand à Saint-Cloud, créancier de la succession, qui approuve.
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Dépôt de deniers pour la succession de François WEIDLICH, par Ignace KREIBICH, marchand de verre, demeurant ordinairement à Sèvres, associé de Florian ZAHN, négociant en verre à Sèvres, procureur de la veuve de François WEIDLICH, négociant de Stein-Schönau, d'Ignace WEIDLICH, tailleur de verre, de Catherine et Anne-Marie WEIDLICH, frères et soeurs, héritiers de feu François WEIDLICH, leur frère négociant en verre à Paris, dépose 1 205 livres qui sont remis le 7 septembre 1775 à Louis VITASSE, aubergiste, rue Saint-Denis, paroisse Saint-Gilles-Saint-Leu, en présence de ZAHN, sur ce qui lui était dû (2 014 livres) ; est intervenu : Ferdinand PALME, marchand à Saint-Cloud, créancier de la succession, qui approuve.
xsd:date
1775-05-13
13 mai 1775
MC/ET/XXX/445
Dépôt de deniers pour la succession de François WEIDLICH, par Ignace KREIBICH, marchand de verre, demeurant ordinairement à Sèvres, associé de Florian ZAHN, négociant en verre à Sèvres, procureur de la veuve de François WEIDLICH, négociant de Stein-Schönau, d'Ignace WEIDLICH, tailleur de verre, de Catherine et Anne-Marie WEIDLICH, frères et soeurs, héritiers de feu François WEIDLICH, leur frère négociant en verre à Paris, dépose 1 205 livres qui sont remis le 7 septembre 1775 à Louis VITASSE, aubergiste, rue Saint-Denis, paroisse Saint-Gilles-Saint-Leu, en présence de ZAHN, sur ce qui lui était dû (2 014 livres) ; est intervenu : Ferdinand PALME, marchand à Saint-Cloud, créancier de la succession, qui approuve.