Déclaration par laquelle Pierre Lizet, chevalier, conseiller du Roi, premier président en Parlement, locataire viager de l'abbaye de Saint-Jean-des-Vignes, près Soissons, pour une maison, grand rue Saint-Jacques, contiguë à un jardin qui appartient à la chapelle Saint-Yves, reconnaît que la porte et les fenêtres, ouvertures et baies par lui pratiquées dans le mur séparatif de sa maison, tant pour gagner, plus facilement, par le jardin, ladite chapelle, que pour 'soy approprier à faire faire une chapelle ou oratoire où sont les fenestres ayans veue sur led. jardin', ne sauraient constituer une servitude passive pour le jardin, et que les lieux seront rétablis en leur état primitif, soit au départ de Pierre Lizet, soit à sa mort ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
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Déclaration par laquelle Pierre Lizet, chevalier, conseiller du Roi, premier président en Parlement, locataire viager de l'abbaye de Saint-Jean-des-Vignes, près Soissons, pour une maison, grand rue Saint-Jacques, contiguë à un jardin qui appartient à la chapelle Saint-Yves, reconnaît que la porte et les fenêtres, ouvertures et baies par lui pratiquées dans le mur séparatif de sa maison, tant pour gagner, plus facilement, par le jardin, ladite chapelle, que pour 'soy approprier à faire faire une chapelle ou oratoire où sont les fenestres ayans veue sur led. jardin', ne sauraient constituer une servitude passive pour le jardin, et que les lieux seront rétablis en leur état primitif, soit au départ de Pierre Lizet, soit à sa mort ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
xsd:date
1543-08-02
2 août 1543
MC/ET/XXXIII/19 fol. 153 Vo
Déclaration par laquelle Pierre Lizet, chevalier, conseiller du Roi, premier président en Parlement, locataire viager de l'abbaye de Saint-Jean-des-Vignes, près Soissons, pour une maison, grand rue Saint-Jacques, contiguë à un jardin qui appartient à la chapelle Saint-Yves, reconnaît que la porte et les fenêtres, ouvertures et baies par lui pratiquées dans le mur séparatif de sa maison, tant pour gagner, plus facilement, par le jardin, ladite chapelle, que pour 'soy approprier à faire faire une chapelle ou oratoire où sont les fenestres ayans veue sur led. jardin', ne sauraient constituer une servitude passive pour le jardin, et que les lieux seront rétablis en leur état primitif, soit au départ de Pierre Lizet, soit à sa mort ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]