Prise à leur charge, sa vie durant, par Jean Viollette, laboureur, à Louans, et Marion Coquignon, sa femme, de Madeleine Coquignon, fille de Mathieu Coquignon, laboureur, à Wissous, et de feue Guillemette Dudure, sa première femme, et belle-soeur de Jean Viollette, âgée de vingt-six ans, 'innocente et debille de son entendement' ; le père de Madeleine Coquignon, ses frères, Éleuthère et Jean Coquignon, laboureurs, à Wissous, sa belle-soeur, Yvonne Davoye, mariée à Claude Moulineau, mêmes qualité et domicile, abandonnent à Jean Viollette la part revenant à Madeleine Coquignon dans la succession de sa mère ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/instantiation/041880-c1p6ye9tlm57-1rvfjuih29bi9-i1 an entity of type: Instantiation
Prise à leur charge, sa vie durant, par Jean Viollette, laboureur, à Louans, et Marion Coquignon, sa femme, de Madeleine Coquignon, fille de Mathieu Coquignon, laboureur, à Wissous, et de feue Guillemette Dudure, sa première femme, et belle-soeur de Jean Viollette, âgée de vingt-six ans, 'innocente et debille de son entendement' ; le père de Madeleine Coquignon, ses frères, Éleuthère et Jean Coquignon, laboureurs, à Wissous, sa belle-soeur, Yvonne Davoye, mariée à Claude Moulineau, mêmes qualité et domicile, abandonnent à Jean Viollette la part revenant à Madeleine Coquignon dans la succession de sa mère ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
xsd:date
1540-12-11
11 décembre 1540
MC/ET/XXXIII/25 fol. XIxxIIII (fol. 224)
Prise à leur charge, sa vie durant, par Jean Viollette, laboureur, à Louans, et Marion Coquignon, sa femme, de Madeleine Coquignon, fille de Mathieu Coquignon, laboureur, à Wissous, et de feue Guillemette Dudure, sa première femme, et belle-soeur de Jean Viollette, âgée de vingt-six ans, 'innocente et debille de son entendement' ; le père de Madeleine Coquignon, ses frères, Éleuthère et Jean Coquignon, laboureurs, à Wissous, sa belle-soeur, Yvonne Davoye, mariée à Claude Moulineau, mêmes qualité et domicile, abandonnent à Jean Viollette la part revenant à Madeleine Coquignon dans la succession de sa mère ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]