Abandon par Antoine Chapelain, prêtre, chanoine de l'église Sainte-Croix d'Orléans, demeurant à Orléans, à Étienne Ménard, boulanger, à Saint-Marcel, d'un jardin, clos de murs, sis à Saint-Marcel, mesurant onze toises sur la rue des Poteries, sur dix toises de profondeur, aboutissant au grand jardin de la maison de la Cage, acquis par Antoine Chapelain de Richard Valois, le 8 août 1542 ; et d'un terrain, sis à Saint-Marcel, rue des Postes, mesurant trois toises de large sur dix toises de long, 'estant au derriere de lad. maison de la Caige', aboutissant en partie à cette maison et en partie au jardin susdit, acquis par Antoine Chapelain, le 6 septembre 1542, dudit Étienne Ménard, propriétaire de la maison de la Cage.
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Abandon par Antoine Chapelain, prêtre, chanoine de l'église Sainte-Croix d'Orléans, demeurant à Orléans, à Étienne Ménard, boulanger, à Saint-Marcel, d'un jardin, clos de murs, sis à Saint-Marcel, mesurant onze toises sur la rue des Poteries, sur dix toises de profondeur, aboutissant au grand jardin de la maison de la Cage, acquis par Antoine Chapelain de Richard Valois, le 8 août 1542 ; et d'un terrain, sis à Saint-Marcel, rue des Postes, mesurant trois toises de large sur dix toises de long, 'estant au derriere de lad. maison de la Caige', aboutissant en partie à cette maison et en partie au jardin susdit, acquis par Antoine Chapelain, le 6 septembre 1542, dudit Étienne Ménard, propriétaire de la maison de la Cage.
xsd:date
1543-09-28
28 septembre 1543
MC/ET/XXXIII/28 fol. IIcXLVII (fol. 247)
Abandon par Antoine Chapelain, prêtre, chanoine de l'église Sainte-Croix d'Orléans, demeurant à Orléans, à Étienne Ménard, boulanger, à Saint-Marcel, d'un jardin, clos de murs, sis à Saint-Marcel, mesurant onze toises sur la rue des Poteries, sur dix toises de profondeur, aboutissant au grand jardin de la maison de la Cage, acquis par Antoine Chapelain de Richard Valois, le 8 août 1542 ; et d'un terrain, sis à Saint-Marcel, rue des Postes, mesurant trois toises de large sur dix toises de long, 'estant au derriere de lad. maison de la Caige', aboutissant en partie à cette maison et en partie au jardin susdit, acquis par Antoine Chapelain, le 6 septembre 1542, dudit Étienne Ménard, propriétaire de la maison de la Cage.