Renonciation, moyennant sept écus d'or soleil, par Philippe Marcille, manouvrier, à Saint-Marcel, à toute action contre Mathieu Jolis l'aîné, laboureur, à Villejuif, et contre son fils, Mathieu Jolis le jeune, à l'occasion des blessures accidentellement reçues par Françoise Marcille, fille dudit Philippe Marcille, de la faute de Mathieu Jolis le jeune, qui conduisait une charrette, le jour de Saint-Maur dernier.
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Renonciation, moyennant sept écus d'or soleil, par Philippe Marcille, manouvrier, à Saint-Marcel, à toute action contre Mathieu Jolis l'aîné, laboureur, à Villejuif, et contre son fils, Mathieu Jolis le jeune, à l'occasion des blessures accidentellement reçues par Françoise Marcille, fille dudit Philippe Marcille, de la faute de Mathieu Jolis le jeune, qui conduisait une charrette, le jour de Saint-Maur dernier.
xsd:date
1547-02-07
7 février 1547
MC/ET/XXXIII/32/A fol. IIIIcXLV Vo (fol. 445 Vo)
Renonciation, moyennant sept écus d'or soleil, par Philippe Marcille, manouvrier, à Saint-Marcel, à toute action contre Mathieu Jolis l'aîné, laboureur, à Villejuif, et contre son fils, Mathieu Jolis le jeune, à l'occasion des blessures accidentellement reçues par Françoise Marcille, fille dudit Philippe Marcille, de la faute de Mathieu Jolis le jeune, qui conduisait une charrette, le jour de Saint-Maur dernier.