Vente par Adam Le Fèvre, écolier étudiant en l'Université, âgé de trente ans, fils et héritier en partie de sa mère, Claudine Jacquet, en son vivant femme de feu Jean Le Fèvre, maréchal, à Louppy-le-Petit, près Bar-le-Duc, à Martin Ravinet, joueur d'instrument de vielle, originaire de Louppy-le-Petit, rue du Mûrier, de toutes les terres, prés et autres héritages, sis à Louppy-le-Petit, que ledit feu Jean Le Fèvre a vendus en deux fois, sous faculté de rachat, moyennant cent quarante francs barrois, et qui appartiennent actuellement aux veuve et héritiers de Robert Gueynau, demeurant à Longeville, et sont tenus à ferme par Bertin Hurlin ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/instantiation/041881-c1p6yfbi9m43-1btv89y0zdtj2-i1 an entity of type: Instantiation

Vente par Adam Le Fèvre, écolier étudiant en l'Université, âgé de trente ans, fils et héritier en partie de sa mère, Claudine Jacquet, en son vivant femme de feu Jean Le Fèvre, maréchal, à Louppy-le-Petit, près Bar-le-Duc, à Martin Ravinet, joueur d'instrument de vielle, originaire de Louppy-le-Petit, rue du Mûrier, de toutes les terres, prés et autres héritages, sis à Louppy-le-Petit, que ledit feu Jean Le Fèvre a vendus en deux fois, sous faculté de rachat, moyennant cent quarante francs barrois, et qui appartiennent actuellement aux veuve et héritiers de Robert Gueynau, demeurant à Longeville, et sont tenus à ferme par Bertin Hurlin ; [Suite de la description dans les informations complémentaires] 
xsd:date 1552-02-05 
5 février 1552 
MC/ET/XXXIII/36 fol. VcXII (fol. 512) 
Vente par Adam Le Fèvre, écolier étudiant en l'Université, âgé de trente ans, fils et héritier en partie de sa mère, Claudine Jacquet, en son vivant femme de feu Jean Le Fèvre, maréchal, à Louppy-le-Petit, près Bar-le-Duc, à Martin Ravinet, joueur d'instrument de vielle, originaire de Louppy-le-Petit, rue du Mûrier, de toutes les terres, prés et autres héritages, sis à Louppy-le-Petit, que ledit feu Jean Le Fèvre a vendus en deux fois, sous faculté de rachat, moyennant cent quarante francs barrois, et qui appartiennent actuellement aux veuve et héritiers de Robert Gueynau, demeurant à Longeville, et sont tenus à ferme par Bertin Hurlin ; [Suite de la description dans les informations complémentaires] 

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