Vente par Catherine Langlois, veuve de Jean Gobelin l'aîné, teinturier en écarlates, à Saint-Marcel, à son fils, Jean Gobelin, mêmes profession et lieu, d'un quartier de terre, 'qui naguères estoit en vigne, en une pièce que led. achecteur a faict des frischer et mis en nature de terre, du ... consentement de lad. Langloys ..., parce qu'elle luy estoit de peu de proffict... ', ladite pièce sise au terroir de Saint-Marcel, lieu-dit les Bas Bréauts, aboutissant en bas au chemin des Cendres ; prix : 20 l. t.
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Vente par Catherine Langlois, veuve de Jean Gobelin l'aîné, teinturier en écarlates, à Saint-Marcel, à son fils, Jean Gobelin, mêmes profession et lieu, d'un quartier de terre, 'qui naguères estoit en vigne, en une pièce que led. achecteur a faict des frischer et mis en nature de terre, du ... consentement de lad. Langloys ..., parce qu'elle luy estoit de peu de proffict... ', ladite pièce sise au terroir de Saint-Marcel, lieu-dit les Bas Bréauts, aboutissant en bas au chemin des Cendres ; prix : 20 l. t.
xsd:date
1552-02-06
6 février 1552
MC/ET/XXXIII/36 fol. VcXVI Vo (fol. 516 Vo)
Vente par Catherine Langlois, veuve de Jean Gobelin l'aîné, teinturier en écarlates, à Saint-Marcel, à son fils, Jean Gobelin, mêmes profession et lieu, d'un quartier de terre, 'qui naguères estoit en vigne, en une pièce que led. achecteur a faict des frischer et mis en nature de terre, du ... consentement de lad. Langloys ..., parce qu'elle luy estoit de peu de proffict... ', ladite pièce sise au terroir de Saint-Marcel, lieu-dit les Bas Bréauts, aboutissant en bas au chemin des Cendres ; prix : 20 l. t.