Germain Barrois, libraire et relieur, à Paris rue de la Sorbonne, reconnaît ne rien prétendre en la propriété de la maison où il demeure, qui appartient au collège de Sorbonne. Celui-ci en avait concédé la jouissance à son père Pierre Barrois et depuis le décès de celui-ci, Germain en jouit à charge de fermer et ouvrir, le soir et le matin, les deux portes de la rue de la Sorbonne et de trousser et nettoyer la chapelle du collège, aux fêtes solemnelles comme Pâques, Pentecôte, Assomption, Toussaint, 11.000 Vierges, Noël et de payer les taxes perçues par le Roi en la ville de Paris.
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Germain Barrois, libraire et relieur, à Paris rue de la Sorbonne, reconnaît ne rien prétendre en la propriété de la maison où il demeure, qui appartient au collège de Sorbonne. Celui-ci en avait concédé la jouissance à son père Pierre Barrois et depuis le décès de celui-ci, Germain en jouit à charge de fermer et ouvrir, le soir et le matin, les deux portes de la rue de la Sorbonne et de trousser et nettoyer la chapelle du collège, aux fêtes solemnelles comme Pâques, Pentecôte, Assomption, Toussaint, 11.000 Vierges, Noël et de payer les taxes perçues par le Roi en la ville de Paris.
xsd:date
1588-08-16
16 août 1588
MC/ET/XXXIII/205
Germain Barrois, libraire et relieur, à Paris rue de la Sorbonne, reconnaît ne rien prétendre en la propriété de la maison où il demeure, qui appartient au collège de Sorbonne. Celui-ci en avait concédé la jouissance à son père Pierre Barrois et depuis le décès de celui-ci, Germain en jouit à charge de fermer et ouvrir, le soir et le matin, les deux portes de la rue de la Sorbonne et de trousser et nettoyer la chapelle du collège, aux fêtes solemnelles comme Pâques, Pentecôte, Assomption, Toussaint, 11.000 Vierges, Noël et de payer les taxes perçues par le Roi en la ville de Paris.