Désistement par Jacques Lefèvre, maître sculpteur, demeurant rue Saint-Denis, de l'opposition qu'il avait faite à l'exécution d'une sentence du Châtelet du 22 avril 1716, obtenue par la veuve de Macé-Mathias Cauchy, bourgeois de Paris, contre lui et contre Antoine Scellier, aussi sculpteur, son associé, avec lequel il se reconnaît débiteur envers ladite dame Cauchy de 175 livres, à savoir : 120 livres pour arrérages du loyer annuel de 80 livres pour l'atelier qu'ils occupent et 55 livres pour les frais; consent le sieur Lefèvre que la dame Cauchy reçoive du sieur d'Ulin, architecte, auquel il a vendu deux figures en pierre de Saint-Leu, la somme de 120 livres, sur les 150 livres du prix de vente, le reste devant être prélevé sur le prix de vente de deux autres statues saisies à la requête de la dame Cauchy.
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Désistement par Jacques Lefèvre, maître sculpteur, demeurant rue Saint-Denis, de l'opposition qu'il avait faite à l'exécution d'une sentence du Châtelet du 22 avril 1716, obtenue par la veuve de Macé-Mathias Cauchy, bourgeois de Paris, contre lui et contre Antoine Scellier, aussi sculpteur, son associé, avec lequel il se reconnaît débiteur envers ladite dame Cauchy de 175 livres, à savoir : 120 livres pour arrérages du loyer annuel de 80 livres pour l'atelier qu'ils occupent et 55 livres pour les frais; consent le sieur Lefèvre que la dame Cauchy reçoive du sieur d'Ulin, architecte, auquel il a vendu deux figures en pierre de Saint-Leu, la somme de 120 livres, sur les 150 livres du prix de vente, le reste devant être prélevé sur le prix de vente de deux autres statues saisies à la requête de la dame Cauchy.
xsd:date
1716-09-12
12 septembre 1716
MC/ET/XXXVI/359
Désistement par Jacques Lefèvre, maître sculpteur, demeurant rue Saint-Denis, de l'opposition qu'il avait faite à l'exécution d'une sentence du Châtelet du 22 avril 1716, obtenue par la veuve de Macé-Mathias Cauchy, bourgeois de Paris, contre lui et contre Antoine Scellier, aussi sculpteur, son associé, avec lequel il se reconnaît débiteur envers ladite dame Cauchy de 175 livres, à savoir : 120 livres pour arrérages du loyer annuel de 80 livres pour l'atelier qu'ils occupent et 55 livres pour les frais; consent le sieur Lefèvre que la dame Cauchy reçoive du sieur d'Ulin, architecte, auquel il a vendu deux figures en pierre de Saint-Leu, la somme de 120 livres, sur les 150 livres du prix de vente, le reste devant être prélevé sur le prix de vente de deux autres statues saisies à la requête de la dame Cauchy.