Vente par Jacques Legendre, architecte et Angélique-Barbe Chantereau, sa femme, demeurant rue de Bourbon, à Pierre Lebreton, marchand mercier, du tiers dont ils sont propriétaires, en indivis, du chef de la dame Legendre, d'une maison appelée la maison de l'ardoise, sise sur le bord du chemin du Mesnil-Montant, près de Paris, sur l'emplacement d'un ancien moulin à vent, dit le moulin de l'ardoise, dit la Haute-Borne, avec toutes ses dépendances, moyennant 2.500 livres.
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Vente par Jacques Legendre, architecte et Angélique-Barbe Chantereau, sa femme, demeurant rue de Bourbon, à Pierre Lebreton, marchand mercier, du tiers dont ils sont propriétaires, en indivis, du chef de la dame Legendre, d'une maison appelée la maison de l'ardoise, sise sur le bord du chemin du Mesnil-Montant, près de Paris, sur l'emplacement d'un ancien moulin à vent, dit le moulin de l'ardoise, dit la Haute-Borne, avec toutes ses dépendances, moyennant 2.500 livres.
xsd:date
1733-02-17
17 février 1733
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 109 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Vente par Jacques Legendre, architecte et Angélique-Barbe Chantereau, sa femme, demeurant rue de Bourbon, à Pierre Lebreton, marchand mercier, du tiers dont ils sont propriétaires, en indivis, du chef de la dame Legendre, d'une maison appelée la maison de l'ardoise, sise sur le bord du chemin du Mesnil-Montant, près de Paris, sur l'emplacement d'un ancien moulin à vent, dit le moulin de l'ardoise, dit la Haute-Borne, avec toutes ses dépendances, moyennant 2.500 livres.