Entre Léon d'Estampes de Valençay, archevêque de Reims, et Guillaume Baillon, syndic de ses créanciers, qui ont annulé le compte fait entre eux le 21 septembre 1650, il a été fait un nouveau compte par lequel l'archevêque se trouve débiteur de 5.078 livres 11 sols et accorde que Baillon reçoive cette somme sur les pensions à lui dues pour 1650 par les abbayes de La Plisse et de Saint-Val.
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Entre Léon d'Estampes de Valençay, archevêque de Reims, et Guillaume Baillon, syndic de ses créanciers, qui ont annulé le compte fait entre eux le 21 septembre 1650, il a été fait un nouveau compte par lequel l'archevêque se trouve débiteur de 5.078 livres 11 sols et accorde que Baillon reçoive cette somme sur les pensions à lui dues pour 1650 par les abbayes de La Plisse et de Saint-Val.
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1650-12-27
27 décembre 1650
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Origine de l'information :
Relevé exhaustif dit 'Base Reno' des actes de 1650, d'après les minutes et répertoires des notaires, supplément pour les études II, VI, XIV, XV, XXXIII, XXXIX, LI, LIII, par le personnel du Minutier, 2004-2006 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de création de la notice : 2004
Entre Léon d'Estampes de Valençay, archevêque de Reims, et Guillaume Baillon, syndic de ses créanciers, qui ont annulé le compte fait entre eux le 21 septembre 1650, il a été fait un nouveau compte par lequel l'archevêque se trouve débiteur de 5.078 livres 11 sols et accorde que Baillon reçoive cette somme sur les pensions à lui dues pour 1650 par les abbayes de La Plisse et de Saint-Val.
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Estampes de Valençay, Léon d'
Baillon, Guillaume
Estampes de Valençay, Léon d'
Estampes de Valençay, Léon d'