"1713-06-13"^^ . . . "\n \n Autre(s) instrument(s) de recherche\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.\n \n \n "^^ . "\n \n \n Informations complémentaires :\n \n Régime matrimonial : communauté. - Dot : 250 livres en argent comptant, meubles, linge et vêtements, le tout provenant des gains et épargnes de la future épouse. - Douaire : 100 livres.\n \n Origine de l'information :\n \n Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 328 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de révision :2011\n \n Date de création de la notice :2009\n \n "^^ . "Contrat de mariage entre Nicolas Maillard, commis à la poste, demeurant à l'hôtel de Soissons, fils de Charles Maillard, bourgeois de la ville de Mazarin, en Champagne, et de défunte Madeleine Jadin, et Marie-Angélique Lochon, majeure de vingt-cinq ans passés, fille de Pierre Lochon, maître graveur à Reims, dont elle dit avoir le consentement, et de Marie-Catherine Pocque, demeurant rue Saint-Jacques-de-la-Boucherie. Ont signé avec les parents et amis : Jacques Bruel, ébéniste, ami du futur époux, Louis Jogan, relieur, à cause de Jeanne-Geneviève Lochon, sa femme, tante paternelle de la future épouse, et Jean-Baptiste Bordeau, relieur, cousin germain paternel."@fr . "13 juin 1713"@fr . . . . "Contrat de mariage entre Nicolas Maillard, commis à la poste, demeurant à l'hôtel de Soissons, fils de Charles Maillard, bourgeois de la ville de Mazarin, en Champagne, et de défunte Madeleine Jadin, et Marie-Angélique Lochon, majeure de vingt-cinq ans passés, fille de Pierre Lochon, maître graveur à Reims, dont elle dit avoir le consentement, et de Marie-Catherine Pocque, demeurant rue Saint-Jacques-de-la-Boucherie. Ont signé avec les parents et amis : Jacques Bruel, ébéniste, ami du futur époux, Louis Jogan, relieur, à cause de Jeanne-Geneviève Lochon, sa femme, tante paternelle de la future épouse, et Jean-Baptiste Bordeau, relieur, cousin germain paternel."@fr . . . . .