Transaction entre Louis de La Vergne de Tressan, archevêque de Rouen, primat de Normandie, abbé commendataire de l'abbaye royale de Notre-Dame de Longpont, et les religieux représentés par Dom Hyacinthe Dubois, prieur, au sujet de la reconstruction et de la réparation des bâtiments réguliers presque entièrement détruits par un incendie le 1er septembre 1724 (à la suite de deux procès-verbaux dressés, l'un par les officiers de la justice de Longpont, le 1er septembre 1724, l'autre par les officiers de la maîtrise particulière des eaux et forêts de Villers-Cotterêt, le 28 décembre 1724, Claude Bouillet, architecte à Paris, a évalué les dégâts à 134661 livres). Mgr de Tressan autorise les religieux à faire des coupes de bois dont le produit de la vente servira à payer les travaux, et il les autorise à démolir le vieux logis abbatial pour en utiliser les matériaux, moyennant quoi les religieux s'engagent à terminer les travaux de reconstruction et de réparation dans le courant de l'année 1730 ; en outre, ils s'engagent à construire dans le délai de quinze ans, un nouveau logis abbatial.
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Transaction entre Louis de La Vergne de Tressan, archevêque de Rouen, primat de Normandie, abbé commendataire de l'abbaye royale de Notre-Dame de Longpont, et les religieux représentés par Dom Hyacinthe Dubois, prieur, au sujet de la reconstruction et de la réparation des bâtiments réguliers presque entièrement détruits par un incendie le 1er septembre 1724 (à la suite de deux procès-verbaux dressés, l'un par les officiers de la justice de Longpont, le 1er septembre 1724, l'autre par les officiers de la maîtrise particulière des eaux et forêts de Villers-Cotterêt, le 28 décembre 1724, Claude Bouillet, architecte à Paris, a évalué les dégâts à 134661 livres). Mgr de Tressan autorise les religieux à faire des coupes de bois dont le produit de la vente servira à payer les travaux, et il les autorise à démolir le vieux logis abbatial pour en utiliser les matériaux, moyennant quoi les religieux s'engagent à terminer les travaux de reconstruction et de réparation dans le courant de l'année 1730 ; en outre, ils s'engagent à construire dans le délai de quinze ans, un nouveau logis abbatial.
xsd:date
1725-06-23
23 juin 1725
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Informations complémentaires :
Pièces jointes :
- Devis des travaux de maçonnerie, charpenterie, couverture, menuiserie, serrurerie et vitrerie à faire pour la construction d'un nouveau logis abbatial.
- Plan et élévation lavés d'aquarelle.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 751 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de création de la notice : 2009
Date de révision : 2021 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)
Transaction entre Louis de La Vergne de Tressan, archevêque de Rouen, primat de Normandie, abbé commendataire de l'abbaye royale de Notre-Dame de Longpont, et les religieux représentés par Dom Hyacinthe Dubois, prieur, au sujet de la reconstruction et de la réparation des bâtiments réguliers presque entièrement détruits par un incendie le 1er septembre 1724 (à la suite de deux procès-verbaux dressés, l'un par les officiers de la justice de Longpont, le 1er septembre 1724, l'autre par les officiers de la maîtrise particulière des eaux et forêts de Villers-Cotterêt, le 28 décembre 1724, Claude Bouillet, architecte à Paris, a évalué les dégâts à 134661 livres). Mgr de Tressan autorise les religieux à faire des coupes de bois dont le produit de la vente servira à payer les travaux, et il les autorise à démolir le vieux logis abbatial pour en utiliser les matériaux, moyennant quoi les religieux s'engagent à terminer les travaux de reconstruction et de réparation dans le courant de l'année 1730 ; en outre, ils s'engagent à construire dans le délai de quinze ans, un nouveau logis abbatial.