Vente par Louise-Madeleine René, femme non commune en biens de Claude-Martial Regnier, demeurant rue du Monceau, à Marguerite-Claude René, fille majeure, sa soeur, demeurant même rue, de mobilier et de linge, moyennant 12.000 livres; tous les meubles et objets mobiliers avaient été vendus à la dite dame Régnier par Louis Deharmes, marchand mercier, et par le sieur Tiphaine, tapissier.
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Vente par Louise-Madeleine René, femme non commune en biens de Claude-Martial Regnier, demeurant rue du Monceau, à Marguerite-Claude René, fille majeure, sa soeur, demeurant même rue, de mobilier et de linge, moyennant 12.000 livres; tous les meubles et objets mobiliers avaient été vendus à la dite dame Régnier par Louis Deharmes, marchand mercier, et par le sieur Tiphaine, tapissier.
xsd:date
1725-11-26
26 novembre 1725
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome II, Paris, Archives nationales, 1971, CVI-1298 p.
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Informations complémentaires :
Le Buisson ardent et le Veau d'Or, deux grands tableaux originaux de Le Sueur, bordures de bois doré.
Deux petits tableaux formant pendants du même, 'représentant une Annonciation', b. de b.d.
- 10 tableaux sans noms d'auteurs, 'représentant différents sujets'.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome II [études I à X, soit 2357 actes], Paris, Archives nationales, 1971, p. 848 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Vente par Louise-Madeleine René, femme non commune en biens de Claude-Martial Regnier, demeurant rue du Monceau, à Marguerite-Claude René, fille majeure, sa soeur, demeurant même rue, de mobilier et de linge, moyennant 12.000 livres; tous les meubles et objets mobiliers avaient été vendus à la dite dame Régnier par Louis Deharmes, marchand mercier, et par le sieur Tiphaine, tapissier.